Qui suis-je ?

Qui suis-je? Bonne question; réponse impossible. Je suis ce que j'écris; je suis ce que je lis... voilà déjà un bon début!

26 mai 2006

Fume, fume, fume..

Hey !

Et oui, c'est le retour du blog post BHL !!!

Mais avant de continuer, je me souviens (c'est déjà ça), qu'il faut que j'aille jeter un coup d'oeil aux bitcherie (méritées) qu'on m'a poster sur le forum !!! Je reviens dans un instant ! ;-)

[...]

Bon, après 6 posts, ils devraient comprendrent... pas que je suis le meilleur, mais que j'ai la plus grande gueules de toutes cette gagne qui se dit "bitch" !

(Dieu que c'est dur d'écrire saoul !!!!)

Pour en revenir à ce post (qui n'était à proprement parlé pas commencé), ne vous attendez pas à un aussi grand "succès" que la dernière fois avec mon 8 pages. D'abbords, la bierre est moins bonne ! Ensuite, le cigare, quoique 2 fois plus cher (c'est mon CDS) n'est pas capables de faire percé ses sublimes arôme au dela de la puissance de la bière, aussi "stout et dégueux" soit-elle (quoi? déjà fini la première??? il n'est que 10h25 !!!). La différence, aussi, avec la dernière fois, c'est que je n'ai pas vraiment de nouveau à vous déballez nu sur ces lignes... sauf peut-être sur la fin de semaine du baptême, mais j'ai promis le secret, et j'en ai déjà trop dit... et je garde les secrets (important) même chaud. Je sais, je dirais sûrement (encore) n'importe quoi, mais seulement à des VRAI personnes, pas à un foutu clavier... bêtes noire à hiroglyphe blanc dont les touches prennent plaisirs à se faire caressé par mes empreintes digitales (pas besoin de me le dire, je sais que cette image est vraiment poche... mais VRAIMENT !). Je pourrais dire, à la défense de l'ambiance, que l'celle-ci bénéficie d'une meilleure musique... tuot simplement parce que je fais un "skip-back" pour entendre toujours les deux mêmes tounnes (ce paragraphe est trop long).

Les deux tounnes que je me mets en "repeat", c'est La tounne "Mister Jones" et une autre, de Nirvana. Pourquoi je trippe sur Counting Crows tout d'un coup? (En fait, ça date de plusieurs semaines déjà) Peut-être que c'est parce que c'est l'histoire de deux gars qui parlent autour d'un feu de camp (le meilleur résumé que 5 jours d'analyse me permette) en parlant de femme, de succès et de solitude. C'est con, mais si on lit les paroles, ont ne vois pas du tout où ça s'en và. Raconté par un mauvais "résumeur" (comme moi), les strophes n'ont aucun lien, sauf qu'un gars dit que, s'il connaitrait Picasso, il s'achêterais une guitare grise, parce que le gris est sa couleur préférée.

[...pause refill...] (Je sais, hugue m'attends à la porte d'à coté)

Ce que je comrends de ces élucubration (et ce qui me rejoint), c'est 2 phrases.

"And we're staring at the beautifull women. She's a hook for you. Man there's got to be somebody for me."
et
"We all want to be big, big star... but we got different reason for that."

Vous le voyez surement pas comme moi (avec ma bierre mauvaise et mon cigare que je ne me décide pas à rallumer), mais c'est les deux phrases qui viennent me chercher aux trippes... La première est plutôt "straight forward", mais la seconde... peut être qu'elle s'explique par une sutre ligne de la tounne :

"When everybody loves you, you can never be lonely".

Ouais... dans le fond.. c'est pas mal la même chose... et je me répête pas mal avec toutes les autres complaintes que j'ai faites, saoul ou non... préférablement saoul, ma tendance à vouloir fair pitié étant plus forte que mon aversion pour le sentiment.. après tout, on déteste ce que l'on aime, non ?

[vraiment TRÈS ordinaire, cette bière]

[Sha la la la,. la la la laaa....]
I want to bew somebody, who beleives

Foullez moi pourquoi je dis ça. Pourtant, je viens de passé une très bonne soirées (courte, mais pas mal), mais je suis incapable.. (de quoi au juste? d'être heureux? d'être triste?) ...peut importe, oubliez ça!

Pourtant, quelque chose me pousse à écrire encore.

  • Est-ce la boisson?
  • Est-ce le précédent long-blog qui avait suscité tant d'intérêt?
  • Est-ce le syndrome du vendredi soir?
[ça y est, il brule...] (ça va sentir la boucane demain, mais j'en consoit même une certaine fiertée...)

Je vous l'ai dis, j'ai un livre sur "le fumeur de cigare" (Le livre du connaisseur de cigare, pour être exact), et bien j'ai toujours une des phrases que j'ai prise en fleurtant. Ça ressemble à "Il n'y a rien de plus beau qu'une femme roulant la cape d'un bon Havane sur ses cuisse nue" (reproduction libre). Je ne sais pas d'où me viens cette obsession pour... et bien LE sujet, ce soir... rien ne m'y préparait et, à vrai dire, tout m'incitait à penser à autre chose (discussion de gars, soirée de gars, tabac de gars, loisir de gars ...).

Je ne dirai pas comme la dernière fois, qu'il n'y a personne pour m'entendre.. qu je préfèrerais être enmtouré... nope ! En fait, j'aurais la plus belle chicks de la planête couchée à 10 pas, dans mon lit, ou la plus formidable paire de "pote" directement tiré de mon enfance à 3 pas, dans le salon, que je ne déplacerais même pas d'ici... Pourquoi? Je vous laisse la job du psy, moi je les déteste (on déteste ce qu'on aime)...

En aie-je dit assez?.. ou, plutôt, en aie-je terminé avec le blues d'après brosse? Je ne sais trop. Ce que je sais, c'est que j'ai arrêter de faire "skip-back" depuis un p'tit boutte, que mon cigare me donne me donne des misères, que ma bière n'aurait jamais dût quitter les rayons du dépanneur, que mes yeux ferment tout seuls, que l'écran devient flou, que les doit ne répondent plus, que la tête me tourne, que les idées manquent.... bref, je serait dû pour un "Publier le message" précédé d'une signature....

Et pourquoi pas?


C a r d i n a l

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