Qui suis-je ?

Qui suis-je? Bonne question; réponse impossible. Je suis ce que j'écris; je suis ce que je lis... voilà déjà un bon début!

23 octobre 2009

Par là !

Bonjour !

 

Les semaines se suivent mais ne se ressemblent pas!

 

En revenant du "long" congé, j'étais plutôt déprimé.  C'est ma faute, je suis facilement influençable et, en plus, je connais trop bien mes faiblesses pour ne pas être blessé lorsqu'on me les rappelle.  N'empêche, j'ai passé de durs moments pendant la semaine du 10 au 16 octobre... 

 

Puis, après avoir à peu près fait la paix avec moi-même, je me suis lancé dans une série de toutes petites choses qui m'intéressent, et la motivation est revenue.  Par exemple, j'ai fais des "rénos" à la maison, je suis allé participer à un "tournois" de poker où j'ai terminé 3e (sur 22) et mardi j'étais au centre-ville pour un concert de l'OSM.

 

C'est peut-être con, mais ma soirée de mardi en solo je l'ai vraiment trippé fort parce que, pour la première fois depuis...  trop longtemps, je me suis senti libre.  Avec la liberté est venu la confiance, et avec la confiance l'estime de moi.  Même si la musique n'était pas aussi intéressante que je l'aurais voulu, le simple fait d'avoir planifié cette sortie depuis plus de six (6) mois et de faire quelque chose qui me plait à moi, et rien qu'à moi, sans avoir besoin de la présence de personne pour me motiver, c'était quelque chose !

 

...

J'aurais sûrement eu plus de choses à écrire si j'avais fais cette entrée mercredi...  mais bon, c'est comme ça.

 

 

Où je m'en vais avec tout ça?  Par là ! ->

 

 

Sur ce, je vous souhaite de découvrir où vous aller.

 

 

 

C a r d i n a l

8 octobre 2009

La rose, le glaive, et comment les souries rousses survivent dans un monde noir, blanc et gris.

Bonjour ! 

*** ATTENTION: Message à haut contenu d'ennui, de stupidité et d'hallucinations. ***

 

Peu de gens le savent, mais la rose est en fait une plante artificielle.  Bien sur, elle est vivante au sens biologique du terme, mais son origine ne respecte ni les principes Darwiniens, ni ceux prônés par les adeptes du créationnisme.  Cette plante aux vertus artistiques n'est autre que le produit d'une âme dérangée.

 

En effet, la première rose ayant jamais profitée de la lumière du soleil fut créée en Europe vers l'an 1000 avant le fameux J-C.  C'était alors un rare temps de paix dans ce qui est aujourd'hui connu comme le royaume du Danemark, et la rumeur dit que le boulanger de la cour avait un jeune assistant qui n'avait choisi ce métier que parce que rien d'autre ne s'offrait à lui.  Son rêve, en vérité, était plutôt dans les exploits de guerre.  Allez comprendre; Une de ces trop rare âmes guerrières prisonnière d'un royaume par trop paisible!

 

Heureusement pour le fil de cette histoire, cet intrépide avait également un talent de botaniste que peu lui soupçonnait.  Pendants des mois il travailla à perfectionner ce qu'il considéra comme l'astuce ultime qui lui permettrait de réaliser son rêve.  Il créa une fleur magnifique dans le but de la faire parvenir à la reine.

 

Lors de la visite d'un noble de la grande ile voisine, notre jeune ambitieux réussi à s'approcher suffisamment du souverain en visite et il lui montrer sa création, enrobée d'une étoffe de soie pure ne laissant paraitre que les pétales écarlate.  Il se présenta comme un marchand venu de l'orient lointain, et suggéra au monarque ce cadeau pour la reine.  Le monarque fut charmé par cette si belle fleur et, la déposant doucement dans une boite de cèdre, poursuivi sa route vers le palais royal.

 

Lorsque le souverain du lointain offrit la rose à la reine, celle-ci retira l'étoffe protectrice afin de voir ses feuilles, et elle se piqua sur l'une des épines.  Ce que personne ne savait, c'est qu'elle était hématophobe - comment l'aurait-elle su, vivant protégée de tout danger depuis sa naissance ?  Elle s'écroula donc instantanément au sol.

 

Le roi, voyant cela et prenant le malaise pour un empoisonnement, pris aussitôt son glaive et trancha la tête de l'étranger.  Un inévitable conflit s'ensuivit, et l'instigateur anonyme de cette querelle, heureux, eu quelques années plus tard son grade de général.

 

Plusieurs siècles plus tard, la Rose et le Glaive continue d'êtres souvent associées, principalement dans la littérature moyenâgeuse, mais il est important de savoir où tout à commencé!

 

D'ailleurs, cette histoire, avec ses personnages tranchés, me fait également penser à une petite souris que j'ai croisée dans une ruelle, par un bel après-midi de juillet.  À propos, avez-vous déjà vu des souris/rats en guerre les unes contre les autres?   Je ne dis pas que les combats n'existent pas - ils ont sans doutes lieu loin du regard des hommes - mais il est tout de même étrange de n'en entendre jamais parler.

 

Bref, "ma" petite sourie de ruelle (...terme affectueux.  Ne vous en faites pas je ne l'ai pas emprisonnée dans une cage) s'avérait être rousse.  Jamais je n'avais vu de sourie rousse avant celle-ci.  Il y a les albinos blanc de labo, les grises des champs et les noires de villes, mais rousse?  Non!  Jamais.  Cela m'amena à la réflexion suivante: dans un monde où tout est défini comme noir ou blanc, et où grands esprits parlent de gris, où est la place du roux ?  Comment une petite sourie rousse peut-elle vivre dans un univers en teinte de gris ?  Où se trouvent ses modèles, ses références ?  C'est bien beau d'être original, mais que fait-on quand on est seul au monde?

 

Je voue avoue, j'ai une petite larme au coin de l'œil à chaque fois que je repense à la petite sourie rousse.  Pauvre petite...

 

 

 

 

Sur ce, je vous souhaite de prendre le temps d'être absurde....   de temps à autre !  ;-)

 

 

 

C a r d i n a l

Critique littéraire : Bio d'Einstein

Bonjour !

 

Depuis quelques semaines, je me suis reconverti dans la lecture de "d'autres choses que des romans".  Je ne garanti pas que c'est un gout qui va durer (hey!...  c'est moi!), mais pour l'instant ça va!  Après "Dieu ne joue pas aux dés", je me suis lancé dans une biographie d'Einstein (Albert Einstein: créateur et rebelle, écrit par B.Hoffmann).

 

Je viens à peine de terminer, et disons je ne suis pas déçu.  Au contraire (!), c'est vraiment intéressant.  Je savais qu'il n'avait pas juste fait une théorie qu'une poignée de gens seulement comprenne (!).  C'était également un philosophe très intéressant et un pacifiste confirmé. (malgré ce qui a été fait à partir de son oeuvre).

 

Un point que j'ai trouvé intéressant jusqu'à date, c'est l'approche un peu théologique d'Einstein.  Quand il était confronté à deux théories pouvant expliquer un même phénomène, il se posait la question "Qu'est-ce que Dieu aurait fait ?".  Il cherchait par là à trouver la solution la plus simple ou, comme on dit en science, la plus "élégante".

 

 

Bref un bien grand bonhomme !

 

 

C a r d i n a l