Qui suis-je ?

Qui suis-je? Bonne question; réponse impossible. Je suis ce que j'écris; je suis ce que je lis... voilà déjà un bon début!

31 août 2006

Le rêve

Bonjour !

Aujourd'hui, je vous fait parvenir le récit d'un rêve que j'ai eu... mercredi ou jeudi dernier je crois. J'ai essayé de ne pas trop le romancer, mais bien de mettre juste ce que j'ai vu et pensé à ce moment là, sans ajouter les analyses que j'ai fait par la suite.

J'était vraiment mistifé en me réveillant le matin. Tellement, que j'ai cru à une inspiration divine pour la création d'une histoire bien à moi (prétentieux, je sais). J'ai découvert certains liens plus tard, mais ça je les dirai pas.... ;P ! (pas tout de suite du moins).

Dans le rêve original, il y avait un "Acte III", mais il était trop court et trop dénué de liens pour que je le mette ici. Peut-être plus tard...

Bon... place au récit ! Enjoy !

C a r d i n a l

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ACTE I

Je suis dans une pièce en désordre. Ce n'est ni l'éclairage, ni le mobilier qui y font défaut, seulement l'ordre. Il n'y a toutefois aucune fenêtre. On pourrait se croire chez un antiquaire, à voir tout ce bric-à-brac traînant le long de chaque murs, si ce n'est que le centre de la pièce soit parfaitement dégagé. Les couloirs entourent les pièces, à la manière d'un énorme labyrinthe. Ils sont suffisamment large pour laisser passer deux adultes de front, et ce malgré l'encombrement similaire aux différentes pièces.

Je ne suis pas seul. En fait, il y a tout un tas de gens qui s'affaire un peu partout. À quoi? Aucune idée! Ils ne sont ni méfiant ni curieux. Il n'est pas difficile d'être l'un des leurs. Il suffit pour cela d'être là, au même endroit, et c'est tout. Ce n'est pas à proprement parler un foule. La densité semble être celle d'une maison abritant une famille nombreuse. Le niveau sonore ambiant est toutefois plus bas qu'on s'y attendrait dans un lieu habité.

Je me promène parmi ces gens, parmi ces objets, dans ces couloirs large éclairés on-ne-sait-trop-comment, sans but précis. Je ne recherche rien. Je n'ai pas de destination précise, ni d'intérêt marqué pour ce que je rencontre.

Puis, un faible son se fait entendre. C'est une sorte de sirène ayant eu un extinction de voix: rauque, grave, lente et murmurante. À ce signal, tout le monde réagit. Comparé au calme général précédent, l'état de la foule prend des allures d'émeute. Dans un ordre relatif, tous ceux présents se précipitent au coeur des débris jonchant les coins et recoins du couloir dans lequel je me trouve.

Sans même me douter de ce qui se passe, je suit le conseil que me donne cette agitation et je plonge sous une table qui se trouve à ma gauche, m'enfonçant le plus loin possible, derrière un amas composé d'une simple chaise renversée et d'un long bout de bois placé de travers. Mon abri est pathétique. Toute personne passant à mois de vingt mètres m'apercevrait sans aucune difficulté, mais comme c'est tout ce que je trouve pour l'instant, je me mets en boule et, sans même savoir quoi, j'attends...

Au début, rien d'anormal. Soudainement, alors que j'essaie de voir un peu plus loin, une bête affreuse surgit devant ma cachette improvisée. Elle à l'allure d'un chien géant, sauf qu'au lieu de poil, sa peau est noire, nue et dure, un peu comme celle d'un lézard préhistorique. Sa gueule est aussi large que sont corps, et autrement plus terrifiante. Elle à le museau aplatit et des crocs énormes, à moitié aussi long que la hauteur de sa tête ce qui fait que, quand elle ouvre la bouche, on ne vois que deux rangées de dents humides, surmontée de gros yeux sombres et menaçants. Son cri est entre l'hystérie et l'horreur pure, son effet garanti !

Je me demande pourquoi je ne suis pas encore mort... Après tout, à voir la taille de ce monstre, il est clair qu'il aurait put fracasser le maigre obstacle qui le sépare de ma pauvre carcasse tremblante, pathétiquement recroquevillée le plus loin possible du danger. La dernière chose que je vois, c'est cette bête énorme tentant de trouver un trou à sa taille pour me croquer vif. Puis, tout devient noir.


ACTE II

Je me réveille dans une grande chambre, sans lit. Je suis allongé sur des coussins. La pièce est assez grande pour qu'une demi-douzaine de personne s'y trouve, sans pour autant être à l'étroit. Parmi les gens présents, il y a un homme dans la trentaine, pas très grand. Il me donne l'impression d'avoir... une sorte de position d'autorité, parmi toutes les personnes présentes.

A ma question muette, il répond que je suis dans un lieu immense. Ici, il n'y a pas de sortie. Quelqu'un pourrait marcher des jours et des jours sans jamais passer deux fois par le même endroit. Sans être maltraités, nous somme dans une sorte de prison. On ne sait pas qui sont les responsables de cet endroit, mais tout le monde en connaît les geôliers : ces créatures aux allures de chiens préhistoriques. J'apprends qu'il y a deux espèces distinctes parmi les créatures qui rodent au son de l'alarme: les court-museaux (que j'ai déjà rencontré), et les long-museaux. Les premiers sont les plus féroces.

J'apprends aussi qu'un signal précède toujours l'arrivée des chiens. Cependant, le signal est très faible et parfois, on ne l'entend pas toujours à temps pour courir aux abris. C'est pour cette raison que personne ne fait beaucoup de bruit.

Alors qu'il me parle, on entend le faible bruit du signal. Avec précipitation, presque avec panique, le chef ordonne que l'on ferme la porte de la pièce, tout en pestant que nous soyons si nombreux au même endroit. Quelque chose dans sa voix me dit que l'on est en danger, un réel danger. Tout le monde reste immobile, dans le silence le plus complet. Je me surprends à lancer une prière à l'infini. Si l'espace restreint de mon premier abris m'a apporté une protection suffisante, qu'en est-il de cette pièce close? Après tout, si le chien n'a pus pousser une simple chaise, comment peut-il enfoncé une porte? Étrangement, ces réflexions ne me rassurent guère.

Après ce qui sembla être une éternité d'attente (qui n'a dus être que d'une dizaine de secondes), j'entends des bruits de l'autre coté de la porte. Je suis placé juste à coté, du coté gauche. Soudain, je vois quelque chose passer au travers de la serrure de la porte et se matérialisé juste devant moi. C'est un des chiens dont on m'a parlé, un de ceux aux longs museaux. Il a réussi à traverser, semble-t-il, en réduisant sa masse à une seule dimension, pour ensuite passer dans la serrure. Tout le monde est terrifié, et avec raison, il n'y a aucun abri où nous sommes. Le chien prend quelques secondes pour nous observer. Ça y est, on est foutu.

Tout à coups, sortant de nul pas, d'autres êtres entre dans la pièce. Ce ne sont pas d'autres chiens, mais des formes fantomatiques à apparence humaine. Contrairement au chien, ces fantômes entrèrent dans la pièce en passant à travers le mur, en face de moi, tout simplement. L'un deux, celui de tête, sortit une arme ressemblant à un cimeterre et trancha le chien en deux à la auteur des épaules ; La bêtes disparut en fumée.

Le danger passé, nos sauveteurs, ils était quatre, s'approchent. J'apprends qu'on les appelle "les anges". Ce sont les seuls alliés que les gens aient dans cette prison. Ils peuvent entrer et sortir de ce lieu mais, pour une raison obscure, leurs interventions sont rares. J'apprends aussi que celui que j'avais identifié comme le chef est le leader d'un mouvement qui a pour but de libérer tous les prisonniers. Ce but ne pourra être atteint en un jour, mais ce groupe travaille dans l'ombre, lentement mais sûrement.

Pendant la discussion, il me semble comprendre qu'il est possible de "devenir" un ange. Il existe une façon de se séparer de son corps et ainsi passer à cette existence éthérée. Comment est-ce possible?

Sur cette dernière question, je sombre à nouveau dans le noir.

29 août 2006

250ieme !

Bonjour !

Juste comme ça, en passant, cette entrée est la 250ieme sur ce "Journal Web" (c'est long comme traduction... finalement...).

En fait, je n'ai pas trop trop d'inspiration aujourd'hui....

Le travail m'a retenu tous le weekend (ou presque). Ce qu'il y a de platte, c'est que j'avais plein de plans à la treine, mais rien qui soit devenu d'actualitée. Il y avait un rêve vraiment étrange que je voulait raconter (et que je veux encore raconter), mais je n'ai rien construit d'autre qu'une petite liste des points importants, pour me souvenir. Je n'ai pas jouer autant de guit que j'aurais voulu, nit lut autant que j'aurais voulu, ni même gamer autant que j'aurais voulu. J'ai au moins vu du monde, ça c'était cool ! Tranquilos, mais cool !

Le seul évènement qui a marqué mes 3-4 derniers jours, ce fut le déroulement de la soirée d'hier.
Je m'était entendu avec un pote pour aller faire du gaming en LAN chez lui (dommage... j'en perds l'exclusivitée... :J ). Mais, comme s'est passée ma journée, je feelais plus... anti-social. J'avais pensé reporté la chose, mais finalement j'me suis auto-convaincu que ça serais une bonne idée.
30 secondes avant que je parte, jee reçois un message qui me dis que, finalement, on pourrait p-ê faire ça une autre fois parce que la maison se fait envahir (littéralement) de monde, et que ça fitte moins.

Étrange cette façon qu'a la vie de nous exaucer !

Quest-ce que j'ai fait à la place? J'ai jouer de la guit, j'me suis taper un excellent film de motivation et j'suis aller tôt au lit pour lire ! :)

La seule chose qui manquait, c'est l'écriture (et peut-être aussi un coup de fil au Sag), mais bon... ce sera pour une autre fois !

Sur ce, rappelez-vous où vous en êtes, et continuez !


C a r d i n a l

25 août 2006

Aux grands maux...

Bon matin !

Je vous le dit, il y a des fois dans la vie où on se mène la vie dure... et où on le regrette... pis pas. C'est exactement l'histoire de ma vie ces temps-ci.

Mercredi, n'ayant, en fin de compte, pas grand chose à faire, je décide d'aller faire un tour dans l'ouest... à 21h00. Fait à noter : d'habitude, je me mets au lit autour de ces heures là. Après un peu de gaming dans le monde de Disney/Square, on décide d'écouter un p'tit film et, bref, une chose en amenant une autre, j'me retrouve de retour chez nous à 1h du mat (note: mon cadrant sonne à 6h30 le matin, ce qui ne fait que 5h30 de sommeil.). Mais bon, c'est pas grave même si je suis un peu fatigué (un peu ? pfff-ha!ha!ha!), ça valait la peine. Suffit que je prenne ça cool le lendemain et je serai d'attaque à nouveau.

Bip! Bip!

Jeudi, on repart ! Y'a le roi de For For Lointain qui réuni sa gang de musiciens dans son sous-sol de son château, je ne peux pas manquer ça! En plus, j'ai du matériel à livrer chez les géants du 450, histoire de dépanner (avec une légère honte cheap...). Parle parle, jase jase, on part vers le sud. Je joue d'la guit ben ben fort sans qu'on m'entende, un peu de ping-pong (que de bons souvenirs mais de lent réflexes ...!), jasette, boucane, bières (un p'tit 3, juste pour avoir du fun). C'était cool, très cool ! Je me rend compte que j'suis capable d'être social quand je veux, et c'est très bon pour le moral.

Le seul hic!, et c'est là que je reviens, subtil comme un 10 roues, au sujet, c'est que je suis revenu à la maison à... 01h15 (endormi à et 30). Un soir, pas trop mal. Deux? Ouch !

Ce matin (vendredi "jean" relax), même mon cadran ne m'a pas réveillé. Arrivé au bureau, il a pas fallu 10 secondes à ma collègue pour me dire que j'avais besoin d'un p'tit café, et ce même si pas mal tout le monde sais que j'en bois pas.

"Les temps difficiles appellent des mesures désespéré votre altesse" (c'est quoi cette obsession sur la royauté ces temps-ci? sujet intéressant... pour une autre fois ! ;) ).

Je dis toujours que j'aimerais aimer ça, le café, et que, pour la forme, j'essaie d'en boire un par année, histoire de voir si mon goût a changé. Mon dernier remonte à Janvier, mais qu'à cela ne tienne, je m'en fait un. Style classique, 3 sucres, ben du lait rouge... et hop! derrière la crav.... la carte magnétique!

Étrangement, pour la première fois de ma vie, je l'ai trouvé bon! :)
(note aux amateurs: soyez indulgent, ne me lancez pas de pierres parce que j'ai trouvé le café-machine buvable !)

Contrairement à l'alcool(ou au pot'), j'ai pas eu besoin d'être malade pour savoir quel effet ça me fait! Ce matin, j'ai reçu un méchant coup de fouet ! J'aurais le gout d'écrire de la même façon que mes entrées de saoulons. En plus, j'ai d'la concentration sur mon travail, et j'pense en background à faire une petite histoire avec le rêves fucké que j'ai fait cette nuit. D'ailleurs, j'apporte (et non emmène) le portable de la job ce weekend, on verra si ça va aider.

Bref, ce matin, j'ai la cote "Énergie Star".


Sur ce, je vous laisse, plein de boulot m'attends !


C a r d i n a l

24 août 2006

Misère, un autre roi !

Bonjour !

L'histoire d'aujourd'hui raconte comment on peu changer drastiquement de goûts quand on porte un regard nouveau sur un vieux sujet.

Cette semaine, j'ai re-découvert un "King", Stephen King. Je l'ai pas mal toujours détesté. Premièrement parce que tout le monde l'aime, ensuite parce que je suis loin d'être un amateur du style horreur, et finalement, parce que le seul livre que j'ai lut de lui, Cujo, je l'ai pas aimé pentoute.

Pourquoi ça a changer?

Il y a quelques mois, je suis tombé par hasard sur sa "biographie": "Écriture: Mémoires d'un métier". J'était dans un peak de motivation coté écriture, et ce guide (car c'est carrément un guide pour écrivain en herbe) m'a lancé encore plus haut. Vraiment instructif. J'ai, entre autre, appris que le gars écrit pas parce que c'est sa job pis que ça l'a rendu riche, il écrit parce qu'il trippe là-dessus. Comme il dit lui même : "J'suis pas capable de faire un accord en Do majeur à la guitare, mais écrire, ça oui" (traduction libre). En plus, il dit (et je le crois) lire 60-70 livres par années, de tous les genres, et qu'il a toujours un livre avec lui, tout comme moi (le livre, pas les 60-70 par an... pas rendu là encore!).

Une autre chose trippante, c'est qu'il raconte comment il a eu l'idée pour plusieurs de ses "succès". Il raconte comment il a réussi à publier Carrie, son premier ; il raconte qu'il se rappelle pas avoir écris Cujo parce qu'il était toujours ben gelé non-stop pendant cette période là (c'est probablement pourquoi j'ai pas trippé) et, et c'est là que ça rejoins mon sujet, il raconte les "métaphores" derrière Misery.

J'ai donc décider de le lire, ce fameux Misery qui m'avait fait si peur quand j'avais pas encore 12 ans.

Ce qui est le plus trippant, dans cette histoire, c'est que le personnage est un écrivain (avec plein de point commun avec son créateur), et que ce dernier donne plein de trucs et concepts "du métiers". Il raconte ses blocages, ses blancs, son background, comment il s'y prend... j'ai pas l'impression de lire un roman de suspense, mais bien un documentaire sur le "métier" d'écrivain. C'est vraiment trippant !!! :D !

Je suis persuadé que vous apprécieriez, car vous avez tous du talent coté écriture (à mon grand désespoir parfois ;) ).

J'en suis (déjà) à la moitié. Dommage... ! ;)


Bon bien, sur ce, je vous laisse avec la pensée du jour :
"Y'a du mauvais dans l'homme. (p'tite danse coincée avec musique poche)" !!!


C a r d i n a l

23 août 2006

3ieme personne (?)

Allo... !

Comme je le disait dans une de mes précédentes entrées (V: (bla bla bla...)) j'ai ressenti un drôle de feeling par la suite. Une sorte de "wasting time sort-of feeling". Après réflexions (et l'aide de mes psy préférés), j'en suis venu à cette hypothèse : j'ai peut-être vécu ce moment à la troisième personne.

Quand je repasse un souvenir dans ma tête, j'ai toujours l'impression de ne pas y être. Sentiment normal puisqu'un souvenir est comme un film qu'on regarde. Donc on n'y est pas vraiment. Peut-être est-ce juste le sentiment lié à ce second regard qui me tracasse...?... ou peut-être que je n'était tout simplement pas là à ce moment là...?... Je ne sais pas, je ne sais plus.

D'habitude, en revenant d'une excellente soirée, je ressent toujours le besoin urgent d'écrire dans mon blog tout de suite en arrivant à la maison, peu importe que ce soit long ou court. Cette fois là, je ne l'ai pas fait. Pourquoi ? Sur le coup je me disais que j'était tout simplement trop fatigué/fini et que j'avais besoin de mon lit au plus vite. C'est peut-être pour ça que j'avais pas l'impression d'être là, surtout vers la fin: parce que j'avais trop but !?

En y repensant (encore), j'étais là ce fameux soir. Là comme je le suis souvent : pendant les tounnes, pour les toasts, pour la jasette, pour réchauffer le banc tout seul quand les autres vont danser... pas bien bien différent de toutes les autres soirées dans la même branche !

Il faudrait que j'en reparle avec mes deux comparse du moment...
Est-ce que j'était là ? (belle phrase paradoxale ! :) ! )


Peut-être que je veux juste trouver une raison de me plaindre en fin de compte...


C a r d i n a l

22 août 2006

V: Une de perdue, presque une de retrouvée

Bonjour !

Jeudi, suite à mon couronnement, je n'ai pus aller au dernier 5à7 du FBI. Au départ, je trouvait ça dommage, c'est le genre d'activitée que j'aime bien. Mais là où ça m'a vraiment dequoi, c'est de savoir que, à la fin, il ne restait que la "crème féminine". Pas que je sois particulièrement en mode "chasse" ces temps-ci (ni particulièrement seul), mais d'entendre quelqu'un me raconter cela, le goût me pris de sortir dans un bain d'oestrogêne.

Pas de bol, mes deux comparses habituels sont sur des chiffres de soir, l'un fini à 20h, l'autre à... 23h30 (!!). Pas de bol? Tant pis, la fermeture est à 03h, right? Après quelques heures d'attente, on fini par se pointer vers 00h30 chez le plus tardif des deux, puis à se pointer coin Ontario et St-Denis à 01h00. Wow! C'est bien la première fois que je "commence" la soirée aussi tard!

Finalement, ce ne fut sans doute pas aussi... rappoché, que l'original, mais comme dirait l'autre, "pas inintéressant". Rien de comparable à un certain jeudi à Québec dans un bar 2-étages, ni même un autre jeudi, toujours à Québec, devant un bon Ssssssmokede-meat, mais quand même! J'ai eu ma dose et d'hormones et de musique et de mouette-do ! :J

Je remercie mes G.O., jeunes et vieux, et "à la prochaine !"

...
C'est étrange... avec du recul, quand j'y repense une autre fois, je me rend compte que je n'en suis pas ressorti "grandi". Ce n'est la faute de personne, loin de moi cette idée, mais le constat n'en reste pas moins. C'était une bonne soirée..., sans petit plus.

(étrange comme post-feeling)

Bon bien... sur ce, "à nos actes manqués" !


C a r d i n a l

21 août 2006

Le retour du Roi : L'impatience des sujets

Bonjour !

Le roi est de retour!
...Mais était-il vraiment parti?

Croyez-le ou non, il suffit d'une seule journée sans texte pour que je reçoivent un commentaire me reprochant un certain laxisme dans la constance de mon écriture. Bon... j'ai dit "une seule journée" même si en fait il s'en est écoulée trois, mais ça ne compte pas puique c'était le weekend !

Aie-je droit à deux jours de congé par semaine? Sûrement, mais peut-être pas. Après tout, cette pratique quotidienne ne me ferait sans doute pas de mal, sans coté le coté discipline quotidienne. Le tout sans compter mes petites aspirations modestes pour l'écriture. On m'a dit dernièrement : "Si tu pratiques tous les jours, c'est que ça va durer". La remarque était pour un autre sujet, mais elle s'applique bien ici. D'un autre coté, il faut bien que j'aie quelque chose à dire sinon l'écriture, mais surtout la lecture, sera pénible.

Parlant "contenue", il y a sans doute là un indice expliquant l'impatience de mon lecteur. Sciemment, je me suis arrangé pour que mes sujets soient, non pas incipides mais, léger, la semaine dernière. Après une longue série de débats et de questions existentielles ayant suscité un nombre records de commentaires, j'avais besoin de passer à autres choses. Il est très possible que cette "soupe" aie été un peu trop diluée, d'où le sentiment de n'avoir rien "mangé".


Sur ce, je lève ma canette de jus d'orange [;)] à l'inspiration, à l'imagination et à la production !


C a r d i n a l

17 août 2006

Mon couronnement

Bienvenue.

Ce soir, c'est un sombre soir : celui de mon couronnement.

Peut-être vous parais-je étrange en appréhendant avec horreur le jour où j'obtiens ma couronne. Après tout, est-ce que Napoléon était triste quans il s'est fait empereur? Difficile à croire que je n'en veulent points, mais c'est pourtant vrai.

Je dois admettre que cette couronne, quoique dispendieuse, n'est le symbole d'aucun royaume, sinon celui de la lâchetée. Les seuls êtres sous cette couronnes ne sont que de vulgaires microbe, a peine digne d'attention lorsqu'il se révoltent, mais d'un calme vulgaires comme le plâtre la plupart du temps.

Personne ne sera là pour mon couronnement, si ce n'est que le personnel nécessaire. Une autre preuvent du coté obscur de cet évènement.

Le futur couronné que je suis à bien hâte que tout sois fini, bien fini. Encore 3 heures avant le début de la "cérémonie"... à 18h00 : Clinique Dentaire Rotondo.


C a r d i n a l

16 août 2006

Tournée, virée, capotés !

Bonjour !

Hier, c'était la soirée "Tournée Junior(e) 2006" ! C'est fou, mais juste a penser prévoir quelque chose en soirée qui m'empêcherais de jouer d'l'a guit' me fait dequoi ! Mais bon, ce n'était pas le cas hier. Malgré mon répertoire encore plutôt limité, et des "presque barrés"(au dires de certain) plus ou moins ratés, j'ai quand même eu du fun ! Ma prochaine étape est d'apprendre plus que 3 tounnes du début à la fin sans avoir à trainer de feuilles de musiques.

Parlant musique, ça y est, c'est fait, on a nos billet pour la virée de capotés de musiques de jeux qui aura lieux à Toronto, Samedi le 30 septembre 2006 au Hummingbird Centre.

http://www.play-symphony.com/

Oui, c'est pas mal cher... mais j'pense que ça va faire tout un trip !!! :D ! Je vais sûrement vous en reparler d'ici là.


Bon et bien, sur ce, je vous souhaite de pouvoir faires des choses inutiles pour le simple plaisir de la chose !


C a r d i n a l

15 août 2006

Junior(e)

Bonjour !

Ça y est, je suis de retour ! Et pas seul, mais avec Junior(e).

Junior(e) m'a accompagné toute la semaine. Trimballé à nu au départ, puis dans un habit de fourrure, faisant de nombreux kilomêtres avec moi, et le moment était venu de quitter le Saguenay et de migrer vers sa nouvelle demeure.

Junior(e) n'est pas une jeunesse. Quelques cicatrices orne sa peau dorée, sans toutefois avoir atteins ses cordes (...) vocales. Aux dires de certains, Junior(e) est même plus en forme que son grand frère de Chicoutimi.

Junior(e) aime le monde. C'est un social, un artiste ! Pas déjà deux jours au même endroit que Junior(e) rêve déjà de rencontrer d'autres de ses semblables. On lui a déjà parler de La Rousse, de L'Exentrique Amoureuse, de La Grosse Voix et de L'Ainée Sylvestre, sans compter leurs amis.

Junior(e) est en ville !

...
Tout ce qui manque à Junior(e), c'est un nom... mais ça, c'est une autre histoire.


C a r d i n a l

5 août 2006

Samedi matin, ...

Bon matin !

Ça y est, c'est les vacances !!! Pas seulement ça, c'est aussi aujourd'hui que j'vais avoir (enfin), ma GUIT' !!! :D !

Bon, por l'instant, je suis pas encore tout à fait réveillé... il est 8h15 (oui, oui, un samedi) et j'aurait bien dormit un peu plus. Pourquoi ne pas le faire? Tout simplement parce que là où j'ai dormit, dans le bureau, il n'y a pas d'horloge, donc aucun moyen de savoir quel temps il est. Il faut se lever pour le savoir et, un coup levé, le sommeil ne reviens tout simplement pas.

Mais c'est pas grave ! J'ai toute la semaine pour dormir ! :)

Pour l'instant, je suis toujours à Montréal. Môman dort dans ma chambre, et on devrait être bon pour faire toute la route vers le bon vieux Sag' quelque part aujourd'hui, sans presse.


Bon bien, sur ce, profitez de votre weekend ! :)


C a r d i n a l

3 août 2006

Bon et mauvais.

Bonjour !

J'ai remarqué quelque chose aujourd'hui. En fait, ça fait plus longtemps que ça, mais ça m'a plus frappé aujourd'hui. Ce que j'ai réalisé, c'est qu'il y a de bons et de mauvais auteurs. (Maaaaaaa.... !)

Il y a quelques temps, j'ai lut le livre de "Willow", inspiré du film. Je suis habitué aux films tirés de livres (le second l'emportant pratiquement toujours sur le premier), alors j'ai décidé de faire changement en parcourant le chemin inverse. Je fut attrocement déçu. Pas que l'histoire était mauvaise, non, mais on dirait que tout était "lancé" sur les pages, plutôt qu'ammené habilement.

Je me suis dit que c'est ce qui arrive quand on écrit un livre à partir d'un scénario. J'ai donc fait une escurtion en d'autres terres (plus sinistres) avant de me décider à retourner à la lecture d'un film. Ça fait assez longtemps que j'ai eu "Abyss" en livre. Comme je ne me souviens de pratiquement rien du film, j'était curieux, et j'ai bien faillit le débuter trois ou quatre fois, étant toujours amené vers autre chose. Je me suis finalement décidé à l'entammer.

Contrairement à l'autre (Willow), celui-ci est vraiment, mais VRAIMENT, mieux écrit. On y retrouve des détails sur les personnages qui ne sont pas dans le film... bref, l'auteur ne fut pas qu'un "traducteur", il fut véritablement original (tout en restant fidèle j'imagine), et il mérite pleinement d'avoir son nom à la couverture. Même si je n'en suis qu'a la page 46, on peu dire qu'il m'a réconcilier avec le genre.

Pour moi, c'est une étape importante de pouvoir déceler ce qui est "bon" de ce qui est "bof!". Je vois ça comme la pose de balise, pour quand viendra mon tour. ;)


Bon bien... ce sera tout pour aujourd'hui !


À la prochaine !


C a r d i n a l

2 août 2006

De la légèretée !

Bonjour !

Je vous avertit, ce message ne sera pas du genre à avoir des commentaires, et c'est très bien comme ça !

Je trouve que j'ai eu pas mal de sujets lourds ces derniers temps, aussi avec la météo (humidex 47 hier). J'ai décidé de brisé cette atmosphère pesante en faisant un blog sur la légèretée!

Premier sujet léger: ma petite moman viens me rendre visite demain (très probablement). C'est qu'elle a une amie qui viens à Montréal toute seule demain, et comme moi je vais au Saguenay tout seul vendredi, elle s'est dit qu'elle pourrait "alléger" le poids de la route pour ces deux personnes! :) C'est pas mal gentils de sa part je trouve !

Est-ce que ma visite m'apportera mon cadeau ici (MA guit)? Mine de rien, quand j'y pense, je "flotte" sur un petit "nuage"! :) Ça fait déjà une semaine que j'ai commencer à aller voir des tounnes sur internet pour apprendre les accords. J'écoute la tounne en lisant les accord et en faisant du "air"-guitar.

Ça y est, la pluie tombe... et comment !!! On va surement se sentir plus "léger" en sortant du bureau.

... ["vide"]

J'aimerais bien trouvé encore un peu d'allusions à mon titre, mais ma "plume" commence à être fatiguée. Je croyait que mon espris "s'envolerais" grace à ce concept, mais non.

Il ne reste plus qu'à espérer que mes sandale "flottent", parce qu'il y a une véritable inondation à l'intersection en bas du building.


Sur ce, bon "vent" !


C a r d i n a l

1 août 2006

Baignade ou dentiste ?

Bonjour !

On m'a fait parvenir récemment un texte vraiment intéressant, plein de ces belles métaphores que j'aime tant.

En gros, ce que ça dit, c'est qu'ils y a plusieurs type de gens. Quand ils vont à la piscine, certaine personne prennent des heures à se tremper, quitte à être les seul à l'eau quand l'opération est terminée.

Il y a ceux qui se font une joie de faire la bombe et d'arroser tout le monde autour.

Il y a aussi ceux, plus subtils, qui s'assoit sur le bord, les jambes dans l'eau, et qui disent qu'ils ne sont pas prêt, qu'ils n'ont pas envi, trop froid, trop chaud, peu-importe.

Finalement, il y a ceux qui se tiennent au bord de l'eau, ajuste leurs lunettes, se placent, regarde, vise, et hop!... à l'eau !

...

C'est très poétique, avouez (quoique beaucoup moins que l'original, cela va sans dire).

Cette réflexion m'a inspirer une autre image, un peu moins poétique mais que je vous partage quand même. Cette fois, il n'est pas question d'une baignade mais d'une visite chez le dentiste.

Il y a ceux qui, pragmatique, vont à leur visite bi-annuelle. Ceux là sont déjà des adepte de la soie et de la brosse depui leur plus jeune age, alors la visite est très courte, demande peu et se termine dans la joie.

Il y a aussi ceux qui sont un peu moins discipliné. La visite peu être annuelle ou sporadique, tout dépends de l'état général prescentit par la personne. Dès que que le besoin s'en fait sentir ils y vont, sans courir mais vers l'avant. La visite est de durée moyenne, demande un petit plombage et hop, on sort avec soulagement.

Finalement, il y a ceux qui n'ont aucune discipline. Est-ce la motivation ou la peur qui les fait agir, on ne sait jamais avec certitude. Ceux là attendent le dernier moment, celui où ça fait vraiment mal, avant de réagir. Si, par chance, la douleur s'estomp temporairement, la prise d'action peut être reporté jusqu'à la prochaine crise. Leurs visites sont longues, douloureuses, et salées. Avec eux un traitement choc s'impose : extraction, traitement de canal, couronne, chirugie... la totale ! Que de joie !

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C'était la réflexion de la semaine ! ;)


Sur ce, plongez vous dans le brossage ! ;)


C a r d i n a l