Qui suis-je ?

Qui suis-je? Bonne question; réponse impossible. Je suis ce que j'écris; je suis ce que je lis... voilà déjà un bon début!

31 mai 2006

Jamais deux sans trois ...? ; La pluie

Bonsoir !

Il faut que je vous raconte (lire : il faut que j'écrive encore).

Tout à l'heure, ça feallait pas trop trop. J'me disais: "Ça me prendrais quelque chose pour me remettre sul' piton". Alors je pense aller faire un tour à LA bibli, ça fait longtemps j'y suis pas aller pour lire, ça pourrait me faire du bien. Arrivé à l'arrêt de bus du métro, ça me tente juste pas de descendre... la motivation est a son plus bas... "Au pire, je ferai un peu de ménage. Ça pis une bonne bouffe devrait me remettre sur le piton". Mais ce n'est pas ça qui m'a fait revenir à la maison en dansant (littéralement). Non ! C'est la pluie ...!

J'exagère. Ce n'est pas QUE la pluie... disons.

J'était dans l'bus. Il commence a y avoir du vent. Ensuite de la pluie. Ensuite c'est le tonnerre qui part. "Wow! Ça va être trippant attendre mon transfert sur le bord de la route c't'écoeurant...!" Je me le disais de façon sarcastique, mais jamais je n'aurais crus avoir autant de fun !!!

D'abord, y'avais toute une foule de monde compacté dans le minuscule abris, une rivière d'un demie pouce coulant sur toute la surface du plancher. La pluie tombait tellement en diagonale que les gens qui avaient un parapluie (dont moi), le gardaient ouvert même à l'intérieur de l'abrit.

Pourquoi je trippais? C'était de voir le monde !
(C'est difficile à rendre comme fealing, mais je vais essayer)

Tout le monde, au lieux de chiâler bêtement, se sont mis à juste en rire. De parfait inconnu se lançaient des "C'est vraiment l'bordel hein?" en riant. C'est comme si toute cette masse d'inconnus, qui se voient tous les jours sans se parler, partageant une même expérience s'étaient rapproché. Quand la bus arriva, il fallu bien sortir... mais il y avais un attrouppement monstre devant la porte, empêchant tout usage de parapluie et forçant tout ce beau monde à se faire trempé jusqu'aux os... ensemble (passez de sec à tempé bord en bord : 3 secondes et quarts. Rentrer dans le bus: 10 secondes.). Pourtant, pas de bousculades. Tout le monde à pris ça calmement.

Un coup à l'intérieur, en marchant vers l'arriere (s-v-p), je regardait les visages des gens, et la moitié avait un sourire, de conivence, fendu jusqu'aux oreilles. IN... CROI.... YABLE !

J'avais besoin de me resourcer, on m'a balancé dans un torrent de joie.
J'était seul, je me suis sentis entouré de complicité.


Aucune journée à la plage ne peut battre ça !


C a r d i n a l

Et pourquoi pas un deuxième message ...?

Hello !

Ce midi, je dormirais. Je pourrais facilement dire que c'est le manque de repos, mais ce serais faux. C'est plutôt une sorte de lassitude. Au sujet de quoi? Aucune idée !

Chaque soir je rentre à la maison en me disant que "Là, ça y est, j'vais faire de l'écriture". J'imagine que vous avez remarqué, j'adore écrire ici. Ici oui plus qu'ailleurs parce que c'est un endroit accessible de partout, qui ne demande aucun matériel et qui est sans l'obligation implicite du cahier qui nous nargue de ces pages restées blanches.

Je me demandais, récemment, si mon blog serait une lecture intéressante pour quelqu'un qui voudrait me connaître... je crois que oui. J'y ai mis mes excès (de bonheur et de déprime). J'y ai mis mon gout pour la métaphore et le paradoxe. J'y ai mis mes passions du moment, mes amours. J'y ai mis mes élucubrations où tout le monde se perds, mes essaie littéraire construits et mes "tranches de vies" quotidiennes. J'y ai même mis quelques unes de mes passes bitch... à l'occasion. Oui, je crois que tout ce qui est écrit dans ces centaines (il y en maintenant 2) d'entrées représente bien ce que je vis et pense au moment où je l'écris.

Ce que vous lisez, c'est moi.


J'espère que vous appréciez la lecture...

C a r d i n a l

Samedi : La journée la plus longue ; Partie 2

Bonjour !

Pour le 200ieme, voici la suite de samedi !

******

Dans le précédent épisode, on a vu que, finalement, j'y suis aller au party du samedi soir. Disons que, après la journée tout en "relax", le soirée promettait d'être vraiement très différente.

Oui, je suis parti avec certaine réticence, mais je savais que je pourrais compter sur des renforts en cas de panique, et ça m'a rassuré. C'est le concept que je n'ai pas réussi à expliquer en personne aux dit-renfort, qui s'est bien demandé pourquoi j'avais tant apprécier qu'il soit là, même si je n'ai, en fin de compte, pas passer tellement de temps accroché à cette bouée de sauvetage.

C'est d'ailleurs ce qui m'a le plus surpris ! Je croyais aller là-bas et n'avoir rien a dire à personne et, finalement, je me suis retrouvé à discuter, à un moment ou un autre de la soirée, avec au moins 3 personnes que je ne connaisssait pas avant (pour vous, c'est peu être ridicule, mais pour moi c'est tout un évènement). Sans entrer dans les détails, j'ai aussi réalisé que la personne qui m'effrayais le plus, avec qui je m'attendais à être le plus mal à l'aise, et bien ne m'a finalement pas fait cet effet. J'allais à ce party pour faire du P.R., à cela je peux dire "Mission accomplie".

Ce que j'ai beaucoup aimé, aussi, ce sont les dernières heures (ne me demandez pas l'heure exacte, je ne l'ai pas regardée de la soirée). En gros, on s'est ramassé 4 (nos 2 hôtes, ma bouée (inutilisée) et moi) dans la pièce "musique", à jaser et a gratter d'la guit'. Un excellent moment, que je n'oublierai pas de si tôt.

Le bilan final:

Nbre de personne au party: Inconnu
Nbre de personne rencontrées: 12
Nbre de bierre bues: 6
Nbre de tounne de guit' apprisent: 2
Nbre de malaise: 0



C a r d i n a l

30 mai 2006

Samedi : La journée la plus longue ; Partie 1

Bonjour !

Je sais... on est mardi, pas samedi, mais c'est de cette journée mémorable que je veux parler alors.. endurez ! ;-)

D'abord, première chose, j'attendais de la visite d'un homologue saguenéen (en passant, je l'ai eu, mon drapeau !!!). Comme je savais qu'il arriverait tôt, et malgré une soirée de beuveries, bitcheries et franche camaraderie, je me suis levé très tôt... trop tôt. J'ai eu un mal de bloc pas mal toute la journée, mais seulement quand je n'avait rien a faire, ce qui fut bref. Bref, car on a eu tôt fait de quitter mes quatres murs pour partir à la recherche de la boucherie fine qui vend des produit du Sag-Lac !

Nous voilà donc sur le boulevard Goin, direction Est. Je sais pas si vous conaissez, mais comme cartier de "putain de belle piaules", ça dépasse Westount (à mon avis, bien sûr). Comme il faisait super beau (26 degrés), on roulait tranquillement, en regardant tantôt les dites "piaules", tantôt les cyclistEs. Destination, 5741. 5500... 5600... 5800.. oups! Trop loin! Détours par une petite rue (helloooooooo... Corvette !!!!). Retour. Bang ! V'la le 5741 ! Mais... attends... mais c'est une maison, pas un commerce !?! Vérifie dont l'adresse voir... Haaaaa ! C'est Goin OUEST !!! U-turn.

Nous revoilà donc sur le boulevard Goin, OUEST (!). Tout comme son petit frère oriental, ce tronçons est plutôt riche. Il y a, aussi, une piste cyclabe sur presque toute sa longueur, avec de temps à autre un "croche" à l'intérieur d'un parc (en fait, il y en a full !). Donc(!), on finit par trouver la place. C'est vraiment bien comme endroit. Il y a du Boivin frais du jour, de la vinaigrette Viau, du sirop d'érable, d'la bonne VRAIE tourtière, quelques bouteilles de boissons et bien d'autres choses encore. J'avoue, avec une certaine honte, ne pas avoir pris beaucoup de temps pour tout regarder ce qu'il y avait, mais je vous conseille quand même d'y aller. En plus, la proprio est une exilée, elle aussi.

Ma fringale rassasiée à grand coup de fromage, on décide de prendre une marche. Il fait d'ailleur trop beau pour s'enfermer à l'intérieur. Si j'ai déjà dis que La Bibliothèque était mon endroit préféré de Montréal, je peux aussi dire que le long parc où nous avons marché est l'endroit de l'île où je me suis senti le moins à Montréal, dans le bon sens du terme. Avec toute cette nature, l'odeur plus qu'agréable des fleurs printanières... difficile de se croire en pleine ville ! Ce petit coin est évidemment sur ma liste des bon spots à conseiller ! :)

Le temps passant très rapidement, la visite devans partir, on se résigne à retourner à la maison ; Il n'est que 14h00.

Le retour induisit un léger sentiment de déprime chez celui qui vous parle. Le mal de bloc repris en sourdine, la lassitude me gagna... et cette pendaison de crémaillère prévu dans la soirée, pas certain d'y aller finalement. Je me prépare tout de même... longue douche, "Pératie" pour exorcicer mes démons, titte jasette avec un copain... come what may, j'y vaie.

Il est 19h30... 11 heures après le levé, plus de 9 heures avant la fin de la journé...


(À suivre...)


C a r d i n a l

27 mai 2006

Pératie

Hello !

Je ne me sens pas vraiment top shape, ce soir... alors je me suis dit qu'un petit brin de clavier me remettrais peut-être sul' piton !

Ma soirée d'hier s'est plutôt mal passé, malgré que j'aie eu bien du fun avec la gang de la BHL. Ce que je lui reproche le plus, à cette soirée, c'est qu'a 22h00 j'était déjà revenu à la maison... et ce même après avoir attendu la 140 pendant 28 minutes...

Dans quelques heures, est-ce que l'histoire se répêtera? J'ai un autre party, cette fois chez un ami. Honnêtement, je maque de motivation, et il y a toujours cette bonne vieille trouille des foules qui viens faire son tour.

J'ai passé presque toute la journée à me remettre d'hier soir (mal de bloc persistent), et je n'ai pas trop envi de retomber dans l'alcool (tout particulièrement le bas de gamme du retour). Mais, d'un autre coté, c'est peut-être mieux ainsi, qui sait...

Bon... il faut que je prenne un décision...


[...](pause un peu trop longue...)


Ça y est, j'y vais. Advienne que pourra (come what may).


C a r d i n a l

26 mai 2006

Fume, fume, fume..

Hey !

Et oui, c'est le retour du blog post BHL !!!

Mais avant de continuer, je me souviens (c'est déjà ça), qu'il faut que j'aille jeter un coup d'oeil aux bitcherie (méritées) qu'on m'a poster sur le forum !!! Je reviens dans un instant ! ;-)

[...]

Bon, après 6 posts, ils devraient comprendrent... pas que je suis le meilleur, mais que j'ai la plus grande gueules de toutes cette gagne qui se dit "bitch" !

(Dieu que c'est dur d'écrire saoul !!!!)

Pour en revenir à ce post (qui n'était à proprement parlé pas commencé), ne vous attendez pas à un aussi grand "succès" que la dernière fois avec mon 8 pages. D'abbords, la bierre est moins bonne ! Ensuite, le cigare, quoique 2 fois plus cher (c'est mon CDS) n'est pas capables de faire percé ses sublimes arôme au dela de la puissance de la bière, aussi "stout et dégueux" soit-elle (quoi? déjà fini la première??? il n'est que 10h25 !!!). La différence, aussi, avec la dernière fois, c'est que je n'ai pas vraiment de nouveau à vous déballez nu sur ces lignes... sauf peut-être sur la fin de semaine du baptême, mais j'ai promis le secret, et j'en ai déjà trop dit... et je garde les secrets (important) même chaud. Je sais, je dirais sûrement (encore) n'importe quoi, mais seulement à des VRAI personnes, pas à un foutu clavier... bêtes noire à hiroglyphe blanc dont les touches prennent plaisirs à se faire caressé par mes empreintes digitales (pas besoin de me le dire, je sais que cette image est vraiment poche... mais VRAIMENT !). Je pourrais dire, à la défense de l'ambiance, que l'celle-ci bénéficie d'une meilleure musique... tuot simplement parce que je fais un "skip-back" pour entendre toujours les deux mêmes tounnes (ce paragraphe est trop long).

Les deux tounnes que je me mets en "repeat", c'est La tounne "Mister Jones" et une autre, de Nirvana. Pourquoi je trippe sur Counting Crows tout d'un coup? (En fait, ça date de plusieurs semaines déjà) Peut-être que c'est parce que c'est l'histoire de deux gars qui parlent autour d'un feu de camp (le meilleur résumé que 5 jours d'analyse me permette) en parlant de femme, de succès et de solitude. C'est con, mais si on lit les paroles, ont ne vois pas du tout où ça s'en và. Raconté par un mauvais "résumeur" (comme moi), les strophes n'ont aucun lien, sauf qu'un gars dit que, s'il connaitrait Picasso, il s'achêterais une guitare grise, parce que le gris est sa couleur préférée.

[...pause refill...] (Je sais, hugue m'attends à la porte d'à coté)

Ce que je comrends de ces élucubration (et ce qui me rejoint), c'est 2 phrases.

"And we're staring at the beautifull women. She's a hook for you. Man there's got to be somebody for me."
et
"We all want to be big, big star... but we got different reason for that."

Vous le voyez surement pas comme moi (avec ma bierre mauvaise et mon cigare que je ne me décide pas à rallumer), mais c'est les deux phrases qui viennent me chercher aux trippes... La première est plutôt "straight forward", mais la seconde... peut être qu'elle s'explique par une sutre ligne de la tounne :

"When everybody loves you, you can never be lonely".

Ouais... dans le fond.. c'est pas mal la même chose... et je me répête pas mal avec toutes les autres complaintes que j'ai faites, saoul ou non... préférablement saoul, ma tendance à vouloir fair pitié étant plus forte que mon aversion pour le sentiment.. après tout, on déteste ce que l'on aime, non ?

[vraiment TRÈS ordinaire, cette bière]

[Sha la la la,. la la la laaa....]
I want to bew somebody, who beleives

Foullez moi pourquoi je dis ça. Pourtant, je viens de passé une très bonne soirées (courte, mais pas mal), mais je suis incapable.. (de quoi au juste? d'être heureux? d'être triste?) ...peut importe, oubliez ça!

Pourtant, quelque chose me pousse à écrire encore.

  • Est-ce la boisson?
  • Est-ce le précédent long-blog qui avait suscité tant d'intérêt?
  • Est-ce le syndrome du vendredi soir?
[ça y est, il brule...] (ça va sentir la boucane demain, mais j'en consoit même une certaine fiertée...)

Je vous l'ai dis, j'ai un livre sur "le fumeur de cigare" (Le livre du connaisseur de cigare, pour être exact), et bien j'ai toujours une des phrases que j'ai prise en fleurtant. Ça ressemble à "Il n'y a rien de plus beau qu'une femme roulant la cape d'un bon Havane sur ses cuisse nue" (reproduction libre). Je ne sais pas d'où me viens cette obsession pour... et bien LE sujet, ce soir... rien ne m'y préparait et, à vrai dire, tout m'incitait à penser à autre chose (discussion de gars, soirée de gars, tabac de gars, loisir de gars ...).

Je ne dirai pas comme la dernière fois, qu'il n'y a personne pour m'entendre.. qu je préfèrerais être enmtouré... nope ! En fait, j'aurais la plus belle chicks de la planête couchée à 10 pas, dans mon lit, ou la plus formidable paire de "pote" directement tiré de mon enfance à 3 pas, dans le salon, que je ne déplacerais même pas d'ici... Pourquoi? Je vous laisse la job du psy, moi je les déteste (on déteste ce qu'on aime)...

En aie-je dit assez?.. ou, plutôt, en aie-je terminé avec le blues d'après brosse? Je ne sais trop. Ce que je sais, c'est que j'ai arrêter de faire "skip-back" depuis un p'tit boutte, que mon cigare me donne me donne des misères, que ma bière n'aurait jamais dût quitter les rayons du dépanneur, que mes yeux ferment tout seuls, que l'écran devient flou, que les doit ne répondent plus, que la tête me tourne, que les idées manquent.... bref, je serait dû pour un "Publier le message" précédé d'une signature....

Et pourquoi pas?


C a r d i n a l

... fait de la fumée, sur tout ça !

Bonjour !

Aujourd'hui, vendredi, 16h15. Ça sent la fin de semaine. Ça sent le party, la boisson et... la boucane !

Hier, je suis aller me réapprovisionner en cigares. Depuis le temps que je me plein de ne plus en avoir, j'ai fait un p'tit détour en revenant du boulot et, zwip(!), envoye à la pharmacie !

Ce qui m'a embêté, dans l'expédition, c'est qu'ils ont multiplié par 4 le choix en cigares là où j'ai coutume de m'approvisionner. Heureusement qu'il y avait quelqu'un pour m'aider un peu! Après un bon bout de temps avec la vendeuse (environ 30 minutes), j'ai finit par faire mon choix dans trois catégories différentes. Un p'tit cheap (6$) du Honduras, une valeur sure (12$) de la République Dominicaine et... le choix du snob (18$), de je-me-souviens-plus-très-bien-où. À noter que le CDS est enrobé d'une feuille de cèdre, l'arbre fétiche de mon enfance (sur la rue des Cèdres, bien entendu). Bref, on verra ce que tout ça va donner de bon!

J'ai aussi reçu d'excellent conseils, entre autre sur l'entreposage de ces petites merveilles de fumées. D'ailleur, ça me fait pensé, j'ai reçu un petit cadeau ce weekend. C'est ma moman (oui, oui!) qui m'a offert "Le guide du fumeur de cigare" (titre aléatoire...). Je l'ai feuilleté quelques instants, et il m'a fallu tout mon courage pour arrêter ma lecture (trop d'autres choses a faire...). Ce n'est que partie remise, j'ai tout mon temps pour ce p'tit guide pratique.

Parlant livres, je suis vraiment un faible. Hier, je suis aller remettre un Crichton à La Bibli. Je me suis dit "Là-là, t'as une 20aine de nouveau livres à la maison, alors tu va gentiment garder ta gauche, mettre ta brique dans l'panier, faire un 180 et reprendre le métro." BIP! BIP! Incapable. Je suis tout simplement IN-CA-PABle de laisser mon dossier de prêt vide (c'est faut : une fois j'ai toffé 3 jours... en un an !). Je n'ai même pas l'excuse d'avoir, par hasard, mis les yeux sur une merveille. Et non! J'ai grimpé les escaliers (sur la droite en entrant), monté un étage, fait une treizaine de rangées... pour finalement ne rien trouver. Ne désespérant pas dans mon désespoir pour trouver un livre (j'aime toujours autant les paradoxes !!!), j'ai ouvert mon sac, farfouillé pour trouver mon "porte-idée" et j'ai réussi, après avoir tout refeuilletée mes petites feuilles où j'inscrit les livres dont j'entends parler, pour finalement repartir avec "La 25ieme heure", une référence d'un collègue de travail. Pour un geste inconscient on repassera ! ;-)

Bref, si vous me voyez sans feuille sur moi, reliées ou roulées, c'est que vous n'avez pas bien regardé !


Sur ce, je vous laisse a votre weekend et, rappelez-vous, il n'y a pas que la santé dans la vie... et on trouve toujours du temps pour ce que l'on aime vraiment.


C a r d i n a l

25 mai 2006

Trop c'est comme pas assez

Bonjour !

Et oui, c'est le retour de l'entrée de jour! La raison est plutôt simple, ma présente lecture me donne des goûts antisociaux. Mais je ne vous en parlerai pas plus aujourd'hui... dimanche, peut-être, quand je l'aurai terminé. Désolé Shakespeare, je croyais pouvoir alterner avec ton récit, mais je suis pris dans les mailles de ce filets de 198 pages (j'en suis à 131). Je ne t'oublie pas, mais il m'est impossible de me concentrer sur autre chose en ce moment.

Parlant d'autres choses, je suis en maudit ! Pourquoi? Et bien parce qu'il y a un contingent d'ici qui vont camper ce weekend, et qu'il m'est impossible d'y aller. C'est vraiment platte parce que l'expédition m'aurais permis d'essayer mon nouveau matériel. Déjà que je viens aussi de reporter un voyage à Québec (pourquoi est-ce que je dis encore voyage...), je suis vraiment surchargé ce weekend.

VENDREDI SOIR:
Réunion d'avant-séries de la BHL. Le dernier match s'est joué ce matin, tout le monde sait qui il affrontera en première ronde, et il est maintenant tant de se réunir pour se lancer des bitcheries amicale en pleine face, le tout arrosé avec l'excellente bière du Vice-Versa. En théorie, c'est un 5 à 7, mais en pratique la dernière rencontre du genre s'est terminé après 10h00 (et juste avant ma plus longue entrée de blog à ce jour). Ça promet !

SAMEDI AM:
Samedi matin, alors que je dormirai profondément du someil de l'ivrogne (ce n'est qu'une hypothèse.... mais réaliste), je me ferai réveiller par la délégation homonyme du Saguenay (ça c'est une certitude). Aucun plan précis n'est prévu, mais la journée commence tôt.

SAMEDI PM:
La délégation homonyme repart vers 16-17h00. Nous aurons donc sans doute eu a faire pas mal toute la journée.

SAMEDI SOIR:
Le USS-1628 prends son envol. Tout le personnel diplomatique est invité à la cérémonie d'ouverture. En tant que sous-contractant officiel, je me dois d'y être. La journée finira, très probablement, assez tard.

DIMANCHE
...
Quoi? Rien pour dimanche? Et bien soit !



C a r d i n a l

24 mai 2006

Discussion de filles

Bonsoir !

J'écoutait une conversation de fille mardi. Pas inintéressant comme dirait l'autre. En gros, c'est une de mes (jolie) collègue (célibataire) qui racontait son voyage dans son pays d'origine: le Liban. Avis à ceux qui, comme moi, n'y conaisse rien, paraitrait qu'il y a beaucoup de chose a voir là-bas, surtout pour une femme. Je m'explique.

Dans ce pays, ou du moins à Beyrouth (la capitale), les chrétiens cotoient les musulmans sans que ce soit la guerre. Ok... il parait qu'il y a des militaires dans les rue avec des Kalachnikov (le seul mot que j'ai placé dans la conversation), mais on s'y fait. En fait, il parait qu'on se sent en sécurité ("C'est certain qu'ici, si y'a un fou qui se promène en liberté, ils se fera pas pogné avant longtemps. Là-bas, il fera pas 2 coin de rue qu'il va se faire descendre." (sic)).

Ce que ma collègue à le plus remarqué, à ce que j'ai compris, c'est que les hommes du Liban sont d'une gentillesse et d'une galanterie... incroyable! En plus, là-bas, c'est une société où l'homme se doit de pourvoir à tous les besoins de la famille. Ils n'ont pas à faire les gros bras ou à gueuler ; ils savent où est leur place, et ils n'ont rien a prouver. À coté d'eux, les Québécois font figure de grosse brute fifs. Les femmes ont le droit de travailler (il y a des ingénieure, des archéologues... n'importe quoi en somme), mais elles gagnent moins qu'un homme qui ferait le même travail. "Mais..." de dire miss, "c'est normal qu'elle gagnent moins puisqu'elle n'ont rien a payé. Ni loyer, ni bouffe, ni resto. Elles n'ont que leurs linge à payer". Ce n'est pas un mauvais deal, quand on y pense.

J'entends d'ici des partisans de l'égalité des sexes crier "SCANDALE !!!", mais à ceux là j'ai une chose à dire : On ne peux pas porter de jugements sur une autre culture en se basant sur les barèmes de référence de la notre. N'essayez même pas. Pour être en mesure de porter un jugement, il faut être du pays où, au minimum, y avoir demeuré pendant des années (des décennies seraient mieux).

En somme, ce fût assez intéressant de voir raconter ce coin de pays, par quelqu'un à qui ça tiens à coeur... malgré les commentaires indignés des 3 autres poules pas de tête.

Il y a un dicton au liban qui dit que "Dix femmes ont le même cerveaux qu'une poule folle". (soit dit en passant, un pas vers l'égalité à été fait là bas puisque ma collègue à réussi à faire avouer aux hommes de la places que c'était exagérer. Ils ont dis, en riant, que 2 femmes c'était une meilleure estimation. ;) )


Sur ce brin d'histoire, à la prochaine et, etre temps, je vous souhaite de tomber sur un livre aussi intéressant que le petit bijoux que j'ai débusqué jeudi, et débuter lundi. À suivre...


C a r d i n a l

23 mai 2006

193 ieme

Bonsoir !

Et oui, déjà rendu au cent quatre-vingt treizième billet (c'est bien ça le terme?) !

Il s'en est dit des choses depuis tout ce temps. Et même si j'ai un peu relaché depuis le 10 mai, n'ayant pas eu deux journés consécutives avec un message, il n'en demeure pas moins que je pense souvent à vous, et à cet espace qui m'est cher.

Partant de choses chères à mon coeur, samedi c'était le baptème d'Audréanne, ce qui fait de moi un Parrain de façon officielle ! Qu'est-ce que ça change dans ma vie? Comme ça fait déjà un an que je suis au courant que je le serai, peut-être rien. Mais, ce weekend, j'ai appris énormément de choses, et j'ai pris conscience du rôle sacré du parrain, qui est de veiller, après les parents bien sûr, à l'éducation de l'enfant. Je fais confiance à mon frère et à sa femme pour être des parents qui prévoient énormément de choses et qui ont le bonheur et la sécurité de leur enfant très à coeur. Mon rôle à moi... il se précisera dans le temps, mais je me doute que j'aurai l'occasion de jouer les modérateurs, et de mettre un peu d'imprévu dans la vie de ma petite chérie.

Samedi, j'ai passé par toute, mais je dis bien TOUTES la game des émotions. Nommez les je les ai vécus. L'amour, la haine, la colère, l'amertume, le devoir, la fierté, la joie... toutes! Je n'ai pas eu le temps de voir tout le monde, mais ceux avec qui j'ai passé du temps, c'était ceux avec qui je devait en passer.

Bref, j'ai encore plein de sujets de réflexion pour le prochain mois. Cela ne m'empèchera pas, bien sûr, d'envoyer d'autres critiques littéraire, de prendre le temps de fêter un déménagement, de faire un petit voyage dans la capitale, ni d'essayer d'autres petits restos sympa du centre-ville, mais disons que les prochains 30 jours s'annoncent riche en activités de toute sortes !


Sur ce, ayez l'oeil ouvert !

C a r d i n a l

19 mai 2006

Frénésie

Bonjour !

Je sais, je vous néglige, mais ne m'en voulez pas je vous en prie. J'ai quelque chose à vous raconter aujourd'hui.

Hier soir, après le travail, je suis aller chercher un petit cadeau pour Audréanne. J'avais reçu l'idée d'acheter des livres de conte, ce qui est, pour l'amant de littérature que je suis, une excellente idée. Donc, je vais dans le coin de Berri où il y a une charmante bibliothèque où j'ai déjà flairé quelques jolis petit truc, et je prends 5 livres : 3 pour elle, 2 pour mois ;).

Jusque là, rien d'extraordinaire... en fait oui dans le sens "qui sort de mon ordinaire" mais non dans le sens usuel du terme.

Donc, je retourne chez nous, je meurs de faim, alors j'me mets un film et j'fais mon 5 minutes de popote quotidien. Là où ça deviens intéressant, c'est le après. Ne me demandez pas pourquoi, je décide d'écouter Pour le pire et pour le meilleur. Excellent film de motivation soit dit en passant. Et c'est d'ailleurs ce qui m'arriva.

Je fut, à la fin, pris d'un immense BOOST de motivation incroyable ! Je me lançait d'un bord et de l'autre de l'appart en quête de petit truc à régler. Ça tombe bien, j'ai des bagages a faire (j'men viens comme une femme, je sais plus quel vêtement mettre dans mes bagages) et un cadeau à enveloppé (jamais de ma vie je n'ai pris autant de soin à emballer quoi que ce soit... jamais !). Bref, je courrait littéralement partout, du bureau à la chambre au burau à la cuisine au salon ... bref, j'avais l'impression d'être dans un trente et demi tellement j'ai fait de millage.

Autre effet du film (je crois), est un soudain sentiment de devenir, à défaut d'autre terme, vrai. J'ai discuter avec 2 personnes sur le net pendant cette période, et tout ce que je disais allait droit au but. Bang! Pas de fla fla... de toute façon ça sert à rien. En plus, v'la tit pas que je décide de mettre au rancard mon logiciel de chat (Trillian) pace que je me suis finalement avoué à moi-même que j'utilisait cette application seulement pour le coté "moi j'pas comme les autres" alors que, finalement, elle ne correspond pas a mes besoins pentoute.

La seule chose qui réussit à me calmer, ce fut un ami qui avait un nom qui sonnait déprime sur MSN, et avec qui j'ai discuté un moment. Il m'a... calmé, dans le bon sens du terme. Avec un peu de recul, c'est comme si j'avait réussi à transférer une petite partie de ma motivation. Très agréable donc.


Bon et bien... c'est cela...


Demain c'est le grand jour ! :D !


C a r d i n a l

17 mai 2006

Plein de tounnes

Bonsoir ! :D !

Et oui, ces temps-ci, j'ai vraiment plein de boutte de tounnes dans la tête !
You better loose yourself in the music... (Loose Yourself, Eminem)

I'm only happy when it rains... (de Garbage)
Hier soir, je suis aller prendre une longue marche au centre-ville. Bon, ok, c'était pas marcher pour marcher, c'était plus "se rendre de A à B en passant par dehors". L'affaire trippante (certains diront chiante) c'est qu'il pleuvait! :D ! J'adore la pluie ici! Ça sent bon, l'air est plus frais, il fait chaud mais comme l'eau est froide le contraste est... jouissif! D'ailleur, ce midi aussi je suis sortit sous la pluie, et j'ai trippé comme un enfant.
I never grew up, I was born grown, and grew down... (Shit on you, Eminem)

A la job, je suis rendu dans dequoi de trippant. A vrai dire, ça fait déjà plusieurs jours que je reste au boulot passé 16h00 (ce qui n'est pas mon habitude), c'est tout dire. D'ailleur, il y aura sans doute une petite nouvelle dans le département. Rien n'est officiel, mais en allant voir quelqu'un, je l'ai vu avec une jeune femme, ils faisaient le tour des lieux. Senteux comme je suis (surtout que 3 autres personnes m'on demandé), j'me suis informé. Et oui, va y avoir un nouveau visage.
We all want something beautifull... (Mr Jones, Counting Crows)

En attendant, je suis toujours dans un trip parrain. c'est le baptème d'Audréanne samedi, et le futur parrain qui vous parle n'a toujours rien perdu de son enthousiasme! :) Surtout que j'ai reçu une bonne idée de cadeau. Paraîtrait que les parents aiment bien lire des histoires à leur petite, alors je vais aller faire le tour de quelques boutiques demain, histoire de trouver quelques trucs intéressants pour ma petite chérie. Je m'amuse comme un p'tit fou avec tout ce qui a trait à elle. On dirait que j'ai rajeunis, mais.. dans le bon sens ! ;-)
Forever young, I want to be forever young... (de Alphaville)


Bref, c'est pas mal ça ma vie ces temps-ci...
And that's all, I have to say, about that! (Gump, Weird Al Yankovick)

A la prochaine !
Ce n'est qu'un "Au Revoir"... (eee... honnêtement je sais pas de qui.)


C a r d i n a l

15 mai 2006

Savoir arrêter

Bonsoir !

Je cherche en vain un fil conducteur entre le titre et le message. Alors donc, aujourd'hui, pot-pouris !

Le message que je voulais passer:
Au badmintopn, tout à l'heure, j'ai (encore) jouer en simple avec celui qui aime me faire pratiquer mes déplacements. J'adore ça. 2 secondes de break, ensuite on s'enligne pour un match, jusque là ça và. Pas le temps de souffler, envoye un autre match. Je disais avant le premier que j'était brûler, mais bon, j'sui là pour bouger, et je bouge.
Après le dernier point du deuxième match, c'est mon adversaire ex-pratiqueux qui me dit "Là t'arrête, t'es tout rouge, va prendre un break". C'est pas mêlant, j'avais tellement chaud que la sueur me rentrait dans les yeux. Je sais pas si vous avez déjà essayer de vous mettre du sel directement dans les yeux, mais ça pique en crime!
Y'a un autre gars qui m'dis "Tu vois-tu des picos ?" Comme quoi ça devait paraître que j'était crevé !

La quote que je voulais plugger:
Ça doit bien faire plus d'un mois maintenant que je cherche une façon logique et littéraire de plugger une certaine quote de ma "tounne du moment"... pas moyen. Alors là j'me fait plaisir, la voici :

I'm a loner,
I'm a looser,
I'm a winner, in my mind

I'm a bad one,
I'm a good one,
I'm a sick one, with a smile

Voilà qui en fait !


Le lien avec mon titre? Il faut parfois savoir arrêter... arrêter de jouer, arrêter de chercher, arrêter d'écrire... ou encore arrêter de se mettre de la pression pour faire un blog original à tout coup.

Le cerveaux humain a, lui aussi, ses limites... même à 20 ans de "Brain Age". ;-) !


C a r d i n a l

12 mai 2006

Je déménage !

Bonjour !

J'en ai assez, je déménage.

Je n'en ai pas parlé encore à personne, mais ça y est, c'est cette fin de semaine que ça se passe. Je vais faire mes boîtes aujourd'hui.

Pourquoi ?
Parce que j'en ai assez de mes 4 murs poches. Sans vue, entourés du bruit de la circulation, loin de mes amis, de ceux avec qui je passe le plus de temps, il était vraiment temps que je change d'air.

Où vais-je ?
Je me suis dénicher un super bon spot ! C'est près des transports, plus près de ma gang et, en plus, j'ai une vue imprenable sur tout le nord de l'île, du haut d'un 9ieme étage. Ne vous en faite pas, j'ai un ascenseur. Malgré qu'il y ara sans doute encore un peu de trafic proche, ce sera beaucoup plus intéressant que là où je suis.



Oui, c'est fixé, lundi j'aurai mon nouveau cubicule au bureau.


C a r d i n a l

10 mai 2006

Un nouvel emplois !

Bonjour !

Oubliez ça le tit cul qui fait juste travailler dans une grosse boite d'assurance! C'est fini ce temps là! Maintenant, j'ai un nouvel emplois : je travaille comme consultant dans le domaine littéraire.

Mon premier conrtat est la suite de ce que j'avais déjà fait dans le passé : Je lit le roman d'un auteur méconnu et j'apporte des commentaires (idéalement constructifs) afin de l'aider à améliorer son oeuvre.

N'allez pas croire que c'est si facile que ça. Il ne s'agit pas juste de parcourir des yeux un amoncellement titanesque de mots et de lignes, non! Ça demande du temps, de l'attention et, bien sûr, de la diplomatie (il faut bien lui reparler après, à cet auteur ! ;) ). Si jamais j'arrive au bout ed 5 chapitres et que je dis "eee.... non, j'ai rien remarqué", c'en est fini de ma réputation de critique (ok... ok... de chiâleux !).

Ce que j'aime le plus dans ce travail, c'est le sentiment d'importance, le privilège de l'exclusivité (ou presque), et le plaisir de rendre service tout en faisant quelque chose de, finalement, très agréable.


Mon second contract est d'un tout autre ordre, mais il se ressemble (a complete paradox). J'ai reçu la mission de lire l'ouvrage (+ de 600 pages) d'un auteur déjà bien établit (Michael Crichton [Jurassic Parc, Sphère, Harcelement, Soleil Levant ...]), d'en analyser le propos (la théorie du réchauffement climatique) et d'en discuter avec un passionner de l'environnement. Dans ma tête, "Bonne lecture" + "Bonne discussion"... je ne peux tout simplement pas passer à coté de ce contrat !

Ce que j'aime le plus dans ce contrat, c'est qu'on m'accorde une crédibilité au niveaux scientifique. En plus, j'ai un certain sentiment d'urgence non-désagréable (je doit absouement avoir fini d'ici le 30 mai, non-renouvelable).


Le plus difficile sera d'arriver à doser les deux contrats afin de ne laisser aucun prendre du retard et d'être à la hauteur pour chacun!


Bon bien, là-dessus je vous laisse car... j'ai du travail ! ;)


C a r d i n a l

9 mai 2006

40 jours et 40 nuits...

Bonjour !

Le décompte est maintenant rendu au chiffre mystique de 40 jours et 40 nuits. Décompte pour... ? Devinez !

... mais les vacances bien sûr ! :D !

J'avoue que je n'ai pas trippé autant sur un projet depuis... assez longtemps. Déjà, on est dans la planif depuis plusieurs semaines. Vous vous dites peut-être que ce n'est rien, que ce n'est qu'une petite semaine... erreur !

Déjà qu'à deux, il faut coordonner les goût pour avoir un planning intéressant, imaginez à 5! La dessus je ne compte pas la petite Audréanne, 3 mois, car son pouvoir décisionnel est plutôt mince ;), mais quand même, ce n'est pas toutes les activitées que l'on peu faire avec elle. En plus, juste pour le coté transport de trouppe, cet adorable petit bout de femme n'a beau mesurer qu'une trentaine de pouces et pesez pas plus d'une vingtaine de livres (désolé mais, pour une fois, je n'ai pas les chiffres à jours... ça change tellement vite !), toujours est-il que sa trousse de voyage est plus imposante que celle des 5 adultes réunit !

Ce weekend, en plus d'être déjà de bonne humeur, je suis aller faires quelques emplettes en prévision du voyage. À ceux qui ne le savent pas encore, certains mangent leurs émotions, moi je les achêtes. Bref, je suis rentré au MEC (Mountain Equipment Coop) avec une petite liste... pas si petite en fin de compte. Et là j'suis parti ! Ouf ! J'ai vraiment réaliser un truc, en revenant : c'est vraiment un pouvoir, dépenser. À moi, ça me procure la même sensation en tout cas.

Donc ! Pour en revenir au sujet principal, je trippe voyage (ça aide aussi d'avoir de nouvelle bebelle pour tripper). Tellement, que j'ai déjà commencer à faire mes bagages ! :) ! 40 jours d'avance, faut le faire !!! Bien sûr, je n'ai pas encore tout préparé, mais j'ai une bonne idée de tout ce qu'il me faudra amener.

J'y pense, il faudra que je vous conconcte un carnet de vacance ! Comme je n'aurai certainement pas l'internet en camping (j'en veux pas), il faudra bien que j'assouvisse mon besoin d'écriture autre pas. Si ce n'est pas d'écrire des extrait de Nelligan sur une pierre avec un bout de bois brulé (je l,ai déjà fait, riez pas), il me faudra un autre support. J'ai justement un petit livre vierge qui ne sert présentement à rien... ça serait intéressant ! :) !

Bien sûr, je m'attent à avoir plus de quotidien que de stylisé, mais c'est mieux que rien du tout non ? Et il n'y aura pas beaucoup de différence avec aujourd'hui (car, non, j'ai pas d'idée de style fucké pour today), mais je vais avoir ma propre tente, donc juste assez d'intimité pour écrire quelque chose d'intéressant (et juste assez de lumière grâce à ma nouvelle lampe frontale... 4-DEL !!!!! :D ! ... eee ... scusez !). Je vous en redonne des news ! ;) !

(Avez-vous des thèmes à me proposer ?)





Sur ce, bonne journée !


C a r d i n a l

8 mai 2006

The day the writer (nearly) died

Bonjour !

Aujourd'hui, trève de style. Je veux simlpement vous dire que je suis heureux d'être encore en vie.

Le contexte?

J'était au badminton, (Qui a jamais dis que ce sport n'était pas dangereux ?) et la game allait plutôt mal... pour nous. C'est dans ces moments que je fais des coups désespérés et que je deviens TROP motivé. Donc... en fait, je me sousviens d'absoluement rien du avant ; je ne sais pas si je voulais reprendre un coup au filet où si j'ai tout simplement trébucher sur mes pieds (je pense que c'est plus la première idée, sinon j'aurait pas eu aussi peur), mais à un moment donné j'ai plongé, tête premiere. ...Pour décrire le quart de seconde qui suivit, je vais avoir besoin d'un nouveau paragraphe.

D'habitude, on attache seulement le haut du filet. Mais là, va savoir pourquoi, le bas du filet voisin était attaché, Dans ma super plonge (je suis assez expert pour tomber, équilibre oblige) j'était près à amortir ma chute en posant mes mains au sol (croyez moi, après... [...], c'est mon réflexe le plus développé). MAIS !!!! Je vois tit pas, en super(!) ralenti(!), la fameuse corde, bien attaché à son poteau. Je regarde le haut du filet : il est très tendu. Je regarde le bas du filet : il est raide lui aussi. Je regarde le noeud de la corde au poteau: ma fois, il a l'air solide lui aussi. DONC ! Je me dis : si mon coup touche à cette corde là, j'ai pus de tête ! Je me dis aussi, quand bien même ça serais mon dos où mon bras, si je touche à cette corde là, mon "aterrissage" va se faire en catastrophe. Je prends donc la solution rationelle de pencher la tête de façon.. r'gardez, j'men souviens même pus comment... bref, juste assez pour faire une passe de limbo en dessous de la putain de corde et de retombé pile sur mon épaule droite. Ouch, mais en vie.

Et oui, tout cela c'est passé en moins d'un quart de seconde ! s'il avait fallu que je ne modifie pas ma trajectoire, j'était tout simplement décapité. au mieux j'aurait hanté les murs de l'école... pas aussi intéressant qu'une école de sorcier, mais bon...

J'ai tellement eu la peur de ma vie que ça m'a pris full de temps à me relever. Les deux équipe (la notre et celle de l'autre terrain) ont eu le temps d'arrêter et de faire un simili rond autour de moi avant que je me lève. Même debout, j'était comme confus. J'ai jeté un regard à la $#/%"/#$!" de corde comme si elle était vivante et avait voulu me tuer. J'en ai presque courut pour m'en éloigner tellement elle me répugnait.

Il y en a un après qui m'a dis : "Une chance t'a pas pogné le poteau de métal !". Quel poteau? J'en TA.... -ti du poteau moi?!! Au moins lui il est prévisible pis j'aurait sus comment paré le coup! Au mieux j'aurais eu une bosse. Mais l'OS... de corde, elle, rien a faire !


La morale de cette histoire, n'attacher jamais la petite corede du bas quand vous jouer au badmin. Non seulement ça baisse le filet, mais ça pourrait vous tuer !


C a r d i n a l

6 mai 2006

17 nouvelles amies

Bonsoir mesdames et messieurs !

Aujourd'hui en présentation "Spécial Samedi", un magnifique défilé vous est présenté. Nous verrons sur scènes 17 créatures digne de l'imaginaire, directement en provenance de l'évènement "Les amis de la biliothèque de Montréal vous offrent plus de 65 000 Livres à 1$ chacun".

Les voilà !

Le premier groupe que vous pourrai admirer fait parti de la collection "Heille j'lai vu au ciné celui là!".
Les manequins célèbres sont "Abyss", "Les nuits avec mon ennemi" (qui est un livre avant un film) et "Willow".

De la collection enfants, le prochain groupe, également composé de trois superbes créatures, est composé essentiellement d'ouvre de monsieur Jules Verne. On peut appercevoir "Les révoltés de la Bounty" au centre de "Les Indes-noires" et d'"Un hivernage dans les glaces".

La prochaine sur la liste, directement sortie du royaume des rêves, est "Prix littéraires du Québec". Retenez bien son nom, car elle pourrais permettre aux plus talentueux d'accéder à la gloire et à la fortune (ou à de très nombreux refus).

De l'écurie célèbre d'Émile Ajar, "Gros-Calin" méritte une attention toute particulière.

La dernière oeuvre de la première partie de se défilé, "Le bonheur du jour (José Cabanis)", a gagné toute notre attention par la toute première phrase de ses pages : "Je serais un autre, si je n'avais pas tant aimé la Comtesse de Ségur". Bien que sûrement méconnue de la majorité de notre public, sachez que celui qui vous parle a 20 oeuvres de cette auteure, personifiant presque qu'a elle seule mes premiers amours du monde littéraires.


Après l'entracte, revenez-nuos pour la catégorie "Pur Guess" de ce défilé. Et maintenant une pose publicitaire.

"Vous en avez mare de ces dimanches pluvieux? Votre bibliothèque regorge d'appuie-libre et de biblots mais manque drastiquement de ces petits passeports pour l'imaginaire que sont les livres? Contactez-nous et il nous fera plaisir de vous accompagner dans votre quête épiques de chef-d'oeuvre littéraire! Les stocks sont renouvelé LIVE, alors il n'est jamais trop tard pour venir découvris des ouvrages extraordinaire. Faites vites, cette offre prends fin le 7 mai 2006 ! Cette offre est d'une durée limitée, 18 mois et plus certaines restrictions s'appliquent"

Re-bienvenue chers amis pour la suite de ce défilé. Le thème de cette seconde partie est, je vous le rapelle, "Pur Guess". Le rideau s'ouvre sur un théatre intrigant "La Reine Morte, de H.DeMontherlant". Immédiantement suivits de deux sensuelles demoiselles "Laure, (E.Arsan)" et "Enquête sur la mort d'une vierge folle (Sylvain Meunier)". En grande surprise ce soir suit miss Goncourt 1974 en personne, "La dentellière (Pascal Lainé)", splendide costume ! À sa suite, c'est le bouquet final, les quatres sombres inconnues de la collections: "Les Mantes Religieuses (Hubert Monteilhet)", "La nuit est sale (Dan Kavanagh)", "Une rose en hiver (Lucile Laveggi)" et "Leninja (E.Van Lustbader)".


Quel défilé !

Pour moins d'une vingtaine de dollars, avouez qu'il y a là bien des heures à passées en compagnie des ces demoiselles !


Sur ce, bonne soirée !

C a r d i n a l

5 mai 2006

Heureux

Bonjour!

Ne me demandez pas pourquoi, je suis heureux.

C'est étrange quand on y pense, le bonheur. c'est une chose tellement complexe que bien des gens passe leur vie à le chercher sans réussir à l'obtenir. Pourquoi? Parce qu'il est... bref, on ne peu pas le saisir. C'est comme un nuage.

Avez-vous déjà essayer d'attrtaper un nuage? Non, évidemment. Seul le vent réussit ce tour de force, et encore, sans le garder tout a fait intacte. C'est d'ailleur ce qui en fait quelque chose de ci beau. Tout à l'heure, alors que j'était à LA bibliothèque, j'ai levé les yeux vers la vitre du plafon pour observer le passage d'un nuage. Sa forme générale n'a pas vraiment chagée, mais en regardant attentivement, on pouvais voir les différentes altitudes se mouvoir différemment, et la teinte même de celui-ci changée...

Bref, ce que je veux exprimer, c'est que le bonheur, c'est la même chose. Il est composé de tellement de particule infime... chacune totalement indépendante. Parfois, le bonheur, c'est un paradoxe complet.

Être seul m'a rendu heureux aujourd'hui, comme parfois l'être me fait tombée dans la dérime. Aujourd'hui, pour la première fois, je suis sortit de l'enceinte de la bibliothèque sans avoir aucun livre à mon dossier (la plupart du temps j'en sort 4 alors que je n'ai le temps en 3 semaine que d'en lire 1 ou 2). Je quittais les lieux pratiquement à reculons. Je n'ai même pas traversé les allées en humant l'air des vieux bouquins (ou si peu...). Et pourtant, tout en descendant les étages par les escalier, alors que je crois n'avoir jamais marcher aussi lentement, un bonheur calme m'envahissait à chaque marche. J'aurais dut être triste de n'avoir rien de nouveau à lire... J'aurais du appréhender le voyage de retour... mais non. J'était tout simplement bien, très bien.

Dans le métro, plutôt que d'attendre impassiemment que mon transit se termine, je regardais les gens. Il y avait là une jeune femme plutôt séduisante. Énigmatique comme je les aimes, elle était dans le wagon voisin. D'habitude, je deviens mélancolique, mais là, non. En sortant à ma station, je descendit, toujours marchant du pas de celui qui viens de découvrir le bonheur de laisser les autres le dépasser. D'ailleurs, mon sujet d'attention précédent ne tarda pas à me doubler a bonne vitesse. Pour la forme, j'accélérai légèrement le pas. Après quelques temps, je la vie qui partait à la course. Pourquoi? Mystère ! Dommage, j'aime suivre ce genre de personne comme on aime la randonnée en nature. En tounant un coin, je vois les douces retrouvailles. Encore une fois, je me disais "Et merde, d'habitude c'est le genre de scène qui me donne un gout amer"... mais aujourd'hui non, rien a faire, incapable d'en vouloir au monde entier.

Je regarde l'heure -- 18h37 -- je viens de manquer le dernier express de 10 minutes. Pis après? Pas de problème! Je ne suis pas pressé, il fait beau.. et y'a toujours la 139 qui passe assez souvent. À l'intérieur, j'ai une place à coté d'un trio : un papa et ses deux fillettes. La décision est facile, je m'assoit près d'eux. À ceux qui redouet les petit coup de pieds désordonnés, ou les mains qui ne sont psa toujours coordonnées, je dis tat pis. Il n'y a rien qui me donne plus le sourire qu'un père avec ses enfants. Pas de maman, juste le papa. En plus les deux fillettes sont super charmante, el le monsieur vraiment patient et insrtuctif. Comment ça prends de temps déjà remonté Pie IX du métro à Montréal-Nord? 45 minutes? J'était presque triste de quitter le bus. J'en aurais pleuré si je n'était pas aussi heureux.

Et là je rentre chez moi. Encore une fois, je me dis qu'on est vendredi, et que je m'enligne une fois de plus pour une soirée en solo (je dis ça, mais elle sont de plus en plus rare ces soirées), mais non, incapable de me starter une petite déprime. à la place, je viens ici vous parler. Je viens ici vous partager mon petit bonheur quotidien, tout en m'adonnant à mon passe temps préféré, l'écriture.


Je vous souhaite à tous une excellente soirée, et bon weekend !


C a r d i n a l

À la H.G. Wells

L'écrivain fait son entrée. A le voir, on dirait qu'il n'a pas dormit de la nuit. Aucun de nous n'ose porté un commentaire. Il prend sa place habituelle, entre l'économiste et l'ado, face à l'agent de voyage et au journaliste sportif. Il nous regarde chacun avec un regard amusé, mais brumeux.
"Pardonnez-moi chers amis. Permettez moi de citer ce vieil adage qui dit qu'il y a de ces jours où on préfèrerait rester coucher."

L'ado le regarde, un sourire en coin. Il reconnait aisément cette posture raide, ces yeux vaguement rouge, pas complêtement ouvert. Il reconnait facilement les signes d'une scéance de gaming un peu trop longue en soirée, pour les avoir lui-même vut dans le miroir nombre de fois.

Le journaliste sportif, qui lui a donner quelques conseils la veille, se demande quels ont finalement été ses choix de repéchage en vue de la saison 2006-2007.

L'économiste est lui aussi songeur. Il se demande ce que l'écrivain fera avec sa récente augmentation, dont les premiers fruits ont été récolté hier. Est-ce qu'il attendra la fin des vacances pour prendre une décision, ou est-ce qu'il règlera le tout le plus vite possible histoire de ne pas prendre de mauvais plis. S'il savais pour hier soir, il se demanderais sûrement comment il remettra les Pingoin de Pittsburg sur la voie de la rentabilitée.

L'agent de voyage se demande si les cernes noirs de l'écrivain sont dù aux préparatifs en vue des vacances de juin. Après tout, il reste bien des choses à décider et quelques achats à faire.

Après quelques instants de silence, l'écrivain s'enfonça un peu plus profondément dans son fauteuil et pris la parole.

"Alors ! Il serait superflu que je vous raconte ma soirée d'hier, alors ne demandez pas. Et vous, chers amis, quelles nouvelle ?"


C a r d i n a l

4 mai 2006

Dans la tête !

Bonjour !

Et puis? Comment allez-vous ?
C'est bien d'avoir quelque chose à dire, mais c'est encore mieux d'avoir quelque chose à écouter. D'ailleur, merci infiniement pour la tonne de commentaires que j'ai reçu dernièrement! J'ai reçu plus de réaction en une semaine qu'en 1 ans, c'est peu dire !

Quoi de neuf ?

J'ai appris que ma moman avait eu une grosse passe down due à sa job. Je sais ce que c'est, et j'ai une p'titte pensée pour elle (elle aimerais mieux une prière, mais ce n'est pas dans mes cordes).

J'ai appris un nouveau truc sur l'assurance... par mon frère! Étrange, c'est pas moi qui travaille dans le domaine ???

Ma lecture actuelle est très spéciale, il s'agit du roman d'un ami. Mais ce qui est le plus génial, c'est qu'il n'est pas publié ! :) Hors contexte, c'est chien, mais lisez jusqu'au bout. Je me sens très flatté d'être choisi comme critique. Même si je n'ai rien pondu de plus de 8 pages ces 10 dernières années, c'est flatteur de voir que mon opinion a du poids.

J'ai eu des nouvelles de ma filleule ! (:D!) Elle a de plus en plus de jasette (incohérente) et elle a appris tout récemment à coordonné ses mouvements pour saisir un objet à 2 mains! Ok... ça a l'air innocent comme ça, mais NON, ce n'est pas inné !


Voilà pour les "inpout".

Cotés output?

Eeeeee...

Et bien cette entrée, pour commencer.

Ensuite, ben... j'vous aime ! :)


Bonne journée !

C a r d i n a l

2 mai 2006

Des dons de voyance

Bonsoir...

Qui l'aurais cru : celui qui vous parle a des dons de visionnaires.

Après sa plus imprévisible prévision à ce jour, je me suis attiré des moqueries, des sourires mesquins, des lignes et des lignes de fiel pur et simple, mais tant pis. On m'a trainé dans la boue, traité de null, envoyé paitre mais rien n'y a fait. On m'a dit sans couille, traité de clown, on m'a lapidé sur la place publique, mon instinct ne m'a pas laché. On a dit que je disais des insanitées, que j'était un kid, que je n'avait pas de fierté, que je ne faisais que boulshitter, tant pis. On m'a dis fou, et d'autre chose pire encore...


Mais je n'en avais pas moins raison mardi dernier :

LE CANADIEN À BEL ET BIEN PERDU EN 6 !

Tint! Vlan dans les dents des membres de la BHL !


C a r d i n a l

1 mai 2006

Des p'tits yeux, volume deux

Bonsoir.

J'aurais pus intituler ce message "Recommencer sa vie", car c'est à ça que je pensais tout à l'heure. La question qui fais figure de prémisse à tout ceci est la suivante : Est-ce que, si j'avais le choix, je voudrais faire un "delete" sur la vie que je mène, et tout recommencer.

Au moment où je vous parle, je n'ai pas la réponse. Sans farce, ce n'est pas si simple comme question.

Du coté "pour", il y a plusieurs arguments de poids. Je suis né dans une famille... intéressante. J'ai réussi à me dégoter une position professionnelle qui correspond à mes goûts et j'ai des amis intéressants. J'ai appris plein de choses intéressantes, rencontré des gens super et vu plein de lieux différents.

D'un autre coté, je me pose un paquet de "What if". Est-ce que je serais une personne plus équilibrée si j'avais été élevé par mes deux parents? Est-ce que j'aurais eu plus de guts si j'avais été étudier en résidence? Est-ce que je me poserais autant de question si j'avais choisis une autre fille comme première blonde ?

Dans le fond, en y repensant, suis-je en train de faire porter le blâme de mes faiblesses aux évènements qui sont survenus dans ma vie au lieu de m'en servir pour être une meilleure personne ? Je me suis toujours vu comme quelqu'un ayant toujours tiré des leçons de ses expériences... du moins jusqu'à tout récemment. On dirait que depuis quelques années, je refait sans cesse les mêmes erreurs, comme si mes actions n'était plus le résultats d'une volontée (rationelle ou non), mais d'un réflexe... ossifié.

Pourtant, je me regarde aujourd'hui et je vois de l'amélioration, par rapports au "moi" d'il y a 4 ans. Mais ici, le rythme de vie est tellement rapide, que les ondulations de mon existence semble ne faire qu'une ligne plate, horizontale, sans heurs ni soubresauts. Ceux que je côtois n'y voient rien, ou alors attendent plus. Difficile de changer une première impression, imaginez une évaluation échelonnée sur plusieurs années !

Ce qui me ramène à mon sujet de départ : Et si ce qu'il me fallait c'était de recommencer ma vie ? Effacer tout les jugements (justifiés), défaire tous les liens et être obligé sous peine de mort de développé mes "social skills" pour en créé de nouveau. Enlever toutes ces peurs stupides, ces gênes injustifiées et ces manies de béton...

Et si... et si...


Et si ceci était mon dernier message...


C a r d i n a l

Des p'tits yeux

Bonjour !

Aujourd'hui, lundi,... ben... c'est un lundi!

La fin de semaine a été plutôt instructive. J'en ai appris un peu plus sur de gens que je connais depuis longtemps, beaucoup sur de nouveaux visages et encore un brin sur moi-même. Que peut-on rêver de plus !?!!

Quoi?! Vous voulez des détails ?! Petits curieux allez, vous n'en saurez rien, car ce qui se dit entre homme reste entre homme ! na !

Tout ce que je peux raconter c'est qu'apprès ma soirée "coupée" de vendredi, je me suis bien repris samedi. On ne s'est pas couché si tard, mais la soirée semble avoir durée une année ! Le lendemain (et oui, je suis resté là pour la nuit, mes clés m'aimaient pas ;) ), on est allé diner au Faste-Fou (sur St-Hubert), un excellent petit resto que j'ai appris à connaître à Québec, et qui fait de la très bonne sangria. Ce que j'ai bien aimé, c'est que c'est MOI qui aie proposé le resto ! :) Et c'était même pas moi le "local expert" ! Même si une présence féminine s'est insinué dans notre trio mâle, ce n'en fût que pour le mieux. Je me sentais vraiment bien... mais VRAIMENT. Le feeling en est insdescriptible. ..

(Heille, indescriptible n'est pas digne de toi !)
Bon d'accord.

Malgrés que j'aie remporté, dans la soirée, de façon incontestable, le prix du juge pour le plus looser d'la gang, le lendemain, c'est peut-être le beau temps, peut-être que j'aie décidé du resto, peut-être parce que tout le monde feelais relax, mais j'me sentait invincible ! J'me sentais confortable, à ma place... "dans la gang" quoi! ...Ça a l'air de rien, mais pour moi c'est quelque chose de "big". C'est tellement rare, ici, que l'impact en est énorme... par contraste.


...
J'avais pensé à un autre sujet mais, finalement, j'aime bien l'unicité de celui-ci ! ;)


Bonne fin de journée !

C a r d i n a l