Qui suis-je ?

Qui suis-je? Bonne question; réponse impossible. Je suis ce que j'écris; je suis ce que je lis... voilà déjà un bon début!

15 mars 2007

And so comes the black nun

Bonsoir !

Ces temps-ci, je suis dans de la lecture vraiment sombre. Sombre, mais assez instructive.

C'est que, pour connaitre au moins un auteur québécois, je me suis mit à lire du Anne Hébert. Pour mon "initiation", j'ai choisis "Le Torrent". Concept génial; images sublimes; et personnages très intéressant. Le hic, c'est que, sur le livre de... 171 pages, cette histoire se dévoile sur "seulement" 38.

J'ai dis le hic mais, en fait, cela c'est avéré être une bénédiction !! Voyez-vous, je n'avais jamais encore lut de receuil de courtes histoires (7 dans ce cas-ci). Bon... juste comme je fini d'écrire ça, je viens de me souvenir de un (1)... Mais bon, mettons que c'est très rare. Je me suis souvent demandé ça a l'air de quoi un texte de quelques pages- ce que je suis capable de faire dans une certaine mesure -mais écrit par quelqu'un dont la plume est le métier! Appeler ça curiosité professionnelle ou alors voyeurisme, mais c'est effectivement quelque chose d'inclus dans mes intérêt, mais sans que je fasse vraiment des efforts pour le combler (un peu comme le cigare dans l'temps...).

Ce que j'ai vu m'a intéressé. Ok, c'est pas mal sombre. Quoique, en y repensant bien, pratiquement toutes les histoires assez longue que j'écris sont dû à mes passes déprimes. Mais entre mes p'tits boutte down de privilégié, et les malheurs profonds- du temps de la 2ieme guerre -que l'on devine dans les récits d'Anne Hébert, il y a une marge! N'empêche, ça encourage une petite partie de moi à reprendre le collier.

En fait, le concept est assez simple. Suffit d'un ou deux personnages, d'un état d'esprit initial, et la plume part! Dans quelques récits, il n'y a même pas de dénouement spectaculaire, ni de petite morale. Parfois, le récit n'est que ça, un récit. Celui de quelqu'un d'un peu étrange, qui vit sa petite routine étrange.

Vous savez, en revenant en bus tout à l'heure, j'ai eu le gout d'essayer ça. C'est génial la/le Bus pour réfléchir! Plusieurs de mes meilleures entrées ont pratiquement été écrites dans la 139 au retour d'une soirée bien arrosée (mon méga-canular, entre autre). Seulement voilà, aujourd'hui, rien de "fiction" ne m'est venu. Est-ce que j'aurais du boire davantage ? Je ne crois pas (j'ai une autre hypothèse, mais je la garde pour moi ! ;P). À la place, c'est ce que vous lisez qui est sorti. J'avais aussi prévu vous parler d'une de mes activité favorite, le vidéoclip, mais ce sera pour une autre fois ça aussi.


En attendant un chef d'oeuvre, je vous laisse sur ces quelques mots, tiré d'une des nombreuse conversations de ce soir:

"Ainsi est venu la noirceur!" (:J Si si, il y a un lien. Bonne chance !)


C a r d i n a l

1 commentaire:

shakespeare a dit...

Tu sais, moi aussi, LA bus m'inspire beaucoup, c'est là que je eu les flash pour les analyses d'Éric dans mon histoire :)