Le pardon

Hello !

Pouvez-vous me dire où est la limite entre ce qui se pardonne, et ce qui ne pardonne pas ?

Depuis plusieurs année je me pose la question (hiver 2000-2001 pour bien demeurer dans le vague). Il y a des jours comme ce fameux dimanche 2001, ou encore ce fameux dimanche 2005 (Damn Sundays! ), ou encore comme aujourd'hui, où je me dis: "Ok. Là j'ai reçu un coup, un coup dur. Qu'est-ce que je fait ?"

La première fois que ça m'est arrivé, j'ai pardonné. Plutôt que de garder ma carapace et de partir, je me suis dit que ça en valait la peine, et j'ai continuer. Grâve erreur. Pas longtemps après, seconde secousse... tout s'écroule et moi avec.

La deuxième fois, en ne comptant que les cas majeurs évidemment, au lieux de quelques semaines, ce fût quelques mois qui s'écoulère avant que je pardonne. Mais j'ai une fois de plus passé l'éponge, cette fois-là pour d'autres raisons... que je cherche encore parfois.

Cette semaine, il s'est passé quelque chose. Quelque chose qui me fait me redemander si j'ai bien fait, cette seconde fois.

Quand quelqu'un vous dis: "C'est oublié", ne le croyez jamais. On n'oublie pas... surtout pas quand on devrait...

Peut-être que c'est moi qui cloche...

La question reste entière : Quelle est ma limite ? Mon point de non retour?

Et la vôtre?

C a r d i n a l