Qui suis-je ?

Qui suis-je? Bonne question; réponse impossible. Je suis ce que j'écris; je suis ce que je lis... voilà déjà un bon début!

11 janvier 2007

Le social est de retour!

Bonjour !

Et puis, ces fameuses fêtes, c'était bien ?

Moi oui! Quoique, ce fût un peu court à mon goût. Les années se suivent mais ne se ressemble pas! L'an passé, j'avais une semaine de plus de vacances, et j'avais trouvé ça très long. J'avais hâte de revenir chez nous dès le 30. Cette année, je suis revenu le 3, mais j'aurais bien resté jusqu'au 10. Allez comprendre!

Bref, me revoilà, aussi motivé que toujours, et plus déterminé que jamais à vous offrir un brin de lecture de qualité! ;)

Je vous ai promis, hier, une petite explication sur mon absence prolongée, la voici donc !

Je suis peut-être le seul sur la planète à être comme ça, mais moi, quand la santé me lâche (ce qui fut le cas cette dernière semaine), et bien mon niveau de sociabilité baisse très près du zéro absolu. J'avais pleins de sujets, mais aucun goût de les écrire. J'ai refusé pleins d'invitations, laissé nombres de courriels sans réponses, et, globalement, je me suis mis en ermitage.

J'y ai repensé cette semaine, et je crois que ce comportement est le fruit d'une longue évolution de l'espèce humaine, ayant abouti à ce magnifique mécanisme de défense qu'est l'anti-sociabilité.

(Oh que ça s'en viens ! :) )

Quand on est malade, de quoi le corps a-t-il le plus besoin? De beaucoup d'eau, bien sûr! Mais aussi, il est d'usage, pour facilité la guérison, de laisser tomber l'alcool et de prendre beaucoup de repos.

Instinctivement, le corps humain le sait, tout ça. Malheureusement, le rythme de vie de l'homo sapiens moderne est beaucoup plus porté vers les activités en haute teneur en alcool, de même qu'en empiétant sur la période de sommeil requis. Et ça, votre corps aussi le sait, et tout particulièrement le mien (je n'ai pus vérifier si ma théorie s'applique à d'autre, alors je vais garder ça personnel... pour l'instant!).

Donc, le meilleur moyen qu'a trouver mon organisme pour facilité sa propre guérison, c'est de produire, à très forte doses, l'hormone chimique responsable du sentiment d'anti-sociabilité (aka ermiphine ou, de son nom latin, sacrémoétous patientus).

L'esprit s'en trouve alors invariablement affecté, et le sujet est ainsi dans des conditions idéales pour passer de grandes journées à ne rien faire d'autre que de s'occuper de ses besoins primaires, c-à-dire s'hydrater (avec de l'eau, non de la bière), ne pas trop bouger (pour laisser l'énergie du corps être utilisée à la défense contre la maladie), et se coucher très tôt (entre 19 et 20h de préférence).

Voyez comme c'est bien fait, la nature !!! :J


C a r d i n a l

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