Invitation to the blues

Allo ...

 

Le titre n'as pas de lien (du moins évident), sauf que c'est la chanson qui joue dans mes écouteurs en ce moment (du moins quand j'ai commencé à écrire cette entrée).

 

Depuis hier, je ne me sens pas vraiment... énergique.  La job est plutôt...  mince, et même si la vie est pas mal occupée, j'ai l'impression de voir la vie en gris depuis mardi.

 

Entre autre, hier je me suis laissé trop impacté par ma défaite rapide au poker, alors qu'en fait j'essayais une nouvelle stratégie, donc c'est normal que ça ne fonctionne pas nécessairement.

 

Aussi, je commence à me dire que mon super-voyage dans l'est n'aura pas lieu en fin de compte.  Je n'ai pas vraiment de raison valable...  seulement plus (+) de difficultés que prévu à gérer mon horaire de vacances.  En fait, j'exagère là aussi, parce que tout ce dont j'ai besoin c'est de soit A) Réduire d'une semaine la durée du voyage (de 3 à 2), ou encore B) d'accepter de travailler le lundi 21 décembre.  C'est super simple, sauf que je ne m'en rends pas compte (paradoxal comme phrase.... :-)! ).

 

Ce qui est quasiment chiant, c'est que lundi soir j'avais une soirée de rêve, et que même pas 36 heures plus tard tout allait "bof".  Allez comprendre ...!

 

Un autre sujet "gris", hier je me suis pris en train d'imaginer la vie à la job quand deux de nos ténors SAS seraient parti.  C'est con, mais même si je sais que leur contrat se terminera cette année, j'ai eu tellement de fun a travailler avec eux que je vais vraiment m'en ennuyer.  J'apprends vraiment pleins de trucs avec ces deux là...  ça va faire un gros vide de les perdre.

 

Tant qu'a y être, j'ai aussi de violentes critiques au sujet de mon blog...  et elles viennent de celui qui vous parle.  Depuis que j'ai tout relu, je me trouve vraiment insipide cette année.  Les sujets sont inintéressants, la forme est nulle, la fréquence me déçoit, et le traitement général est bien en dessous des attentes que j'ai envers moi-même.  Ce qui me trouble le plus, c'est que j'ai pleinement conscience que c'est un excellent purgatoire (ou déversoir quand ça va très bien), mais que je ne l'utilise plus à sa pleine valeur.  Encore aujourd'hui, ça me fais du bien d'écrire, ne serait-ce qu'a moi-même... je devrais le faire plus souvent.

 

Je sais, je me répète...  le gris est une couleur répétitive.

 

 

Bon bien…  sur ce, je vous laisse avant de perdre le fil!

 

 

C a r d i n a l